L’Ecole des hautes études en santé publique est l’Ecole de référence en France pour les cadres de la santé publique.
L’EHESP forme les cadres supérieurs de la fonction publique et propose des spécialités de diplôme national de master, des diplômes de masters spécialisés, des parcours de doctorat, ainsi qu’une offre complète de formation tout au long de la vie. Plateforme internationale pour l’enseignement et la recherche en santé publique, l’Ecole se structure autour de départements intégrés dans un projet interdisciplinaire : méthodes quantitatives en santé publique / santé, environnement et travail / institut du management / sciences humaines et sociales. Grâce à ses unités de recherche labellisées, l’EHESP mène des travaux en partenariat avec de nombreux centres de recherche à travers le monde.
L’EHESP, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, est un « Grand établissement » membre du réseau des écoles de service public, de la Conférence des présidents d’universités et de la Conférence des grandes écoles.
L’EHESP accueille 9 000 élèves, étudiants ou stagiaires provenant d’une cinquantaine de nationalités. Elle fait appel à 1 300 conférenciers français et internationaux par an et est partenaire de 20 universités dans le monde.
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le secteur de la santé semble particulièrement ciblé par les fake news. Quelles hypothèses expliquent cette situation ? Quels sont les risques ? L’analyse de Laurent Chambaud, directeur de l’EHESP.
En 32 ans, Erasmus a permis à 4,4 millions d'étudiants d'effectuer une mobilité intra-européenne.
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Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si, depuis la création d’Erasmus, le nombre de candidats n’a cessé d’augmenter, l’Union européenne insiste sur l’ouverture sociale nécessaire du programme. Qu’en est-il concrètement ?
Les métiers du bâtiment sont généralement considérés comme pénibles.
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Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les critères retenus par la loi restent insuffisants pour définir précisément la pénibilité d’un métier, notamment car ils ne retiennent pas la dimension « bien-être ».
Le nombre de places dans les cursus médicaux est par conséquent directement lié aux capacités d’encadrement de stagiaires dans les services hospitaliers.
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Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Annoncées comme « révolutionnaires » en termes d’impact sur le système de santé, les nouvelles modalités d’accès aux études de médecine s’inscriraient plutôt dans la lignée des dernières évolutions.
Les personnes âgées dépendantes font partie des personnes vulnérables.
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Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Phénomène mal connu et tabou, la maltraitance en établissements pour personnes vulnérables existe bel et bien. Ou devrait-on dire, les maltraitances, car la réalité est complexe et difficile à cerner.
Les employés peuvent avoir l'impression d'être évalués « à la tête du client ».
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Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Certains facteurs de performance individuelle, comme l’intelligence situationnelle ou les interactions avec l’équipe, sont relégués au second parce que non mesurables. Ils sont pourtant essentiels.
Les positions « anti-scientifiques » du gouvernement de Matteo Salvini ont poussé le président de l'Istituto superiore di sanità à la démission.
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Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
En décembre, le président du plus grand institut de santé publique italien a démissionné, en raison des positions « non scientifiques » du gouvernement. Quand les fake news menacent la santé publique.
Les « badgeuses » qui permettent de chronométrer précisément le temps de travail des employés restent présentes dans un certain nombre d’entreprises.
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Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les premiers travaux visant à mettre en place une organisation scientifique du travail ont rapidement été contestés. Près d’un siècle plus tard, ils continuent pourtant d’inspirer les entreprises.
Le plan « Ma santé 2022 » ambitionne de réformer le système de santé. Mais en aura-t-il les moyens ?
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Le plan « Ma santé 2022 », qui ambitionne de réformer le système de santé français, prévoit un redéploiement des moyens au sein d’une enveloppe globalement stable. Insuffisant ? À surveiller…
« Ruée vers la station germicide », caricature politique de l'artiste Chas Reese (1919).
Chas Reese/1919.
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Il faut s’appuyer sur les forces vives des pays concernés par le manque de qualité des soins pour mettre en œuvre des formations à la fois pour les décideurs et les professionnels de terrain.
Un enfant reçoit le vaccin MenAfriVac™ au Burkina Faso.
WHO/Flickr
Judith Mueller, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Dans le monde, méningite et septicémie tuent plus que paludisme, SIDA, rougeole et tétanos réunis. Or si, en Afrique, les vaccins anti-méningite ont joué leur rôle, ils ne protègent pas la vie durant.
Améliorer l'efficacité du système de santé est un enjeu majeur de sa refonte.
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Jean-Marie Januel, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Mis en place après-guerre, le système de santé français n’est plus adapté aux besoins de la population. Nécessaire, sa refonte implique de pouvoir évaluer son efficacité. Ce qui n’est pas simple.
Défaillances de coordination entre soignants ou défauts d'orientation des patients se traduisent parfois par des actes médicaux inutiles.
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Etienne Minvielle, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Réduire les actes médicaux inutiles rendrait le système de santé français plus efficace. Ce n’est pas impossible, mais requiert une meilleure organisation dans la prise en charge des patients.
A child receives the MenAfriVac™ vaccine in Burkina Faso.
WHO/Flickr
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Alors qu’une formation supérieure accélérerait leur intégration, seuls 1 % des réfugiés en âge d’étudier accèdent à l’université. En Europe, revue des écueils majeurs et de quelques solutions.
Usted sabe que no debe fumar o tener relaciones sexuales sin condón si no está con una pareja estable. Y cuando se trata de beber, sólo té, por supuesto.
Dominik Martin/Unsplash
L’utilisation des mégadonnées dans les divers champs de la santé bouleverse les pratiques. Il est donc nécessaire que la France comme l’Europe définissent de nouvelles règles.
Les canalisations en plomb des maisons ou immeubles anciens sont une des sources de contamination possibles, à travers l'eau du robinet.
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Une étude menée sur la population américaine vient de revoir à la hausse le nombre de décès lié à l’exposition à ce métal lourd. De nouvelles mesures de prévention s’avèrent nécessaires.
Les jeunes Français trouvent qu'il n'est pas facile pour eux de parler des choses qui les préoccupent vraiment avec leurs parents, selon une enquête internationale.
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Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les jeunes trouvent qu’il est difficile de parler des sujets qui les préoccupent avec leurs parents. La scolarité prendrait-elle trop d'importance, et plus encore à l'approche du brevet et du bac ?
Enseignante chercheuse - Responsable de la filière des médecins de l’éducation nationale - Membre du CERPOP (UMR1295, Inserm -UPS, Toulouse), École des hautes études en santé publique (EHESP)
Chercheur à l’Unité des Virus Emergents Aix-Marseille Université – IRD 190 – INSERM 1207 – IHU Méditerranée Infection, Enseignant-chercheur en psychologie sociale, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)