L’Observatoire de Paris remplit trois missions principales : la recherche, la formation et la diffusion des connaissances. Les recherches menées à l’Observatoire de Paris couvrent tous les champs de l’astronomie et l’astrophysique contemporaines. L’Observatoire développe et met en œuvre des services nationaux et internationaux et apporte son concours aux grands projets d’observation de l’Univers. Il contribue ainsi à la réalisation des grands instruments (sol et espace), participe aux grands relevés, aux grandes simulations, à l’observatoire virtuel et conduit des travaux en laboratoire.
Politique de recherche : L’Observatoire de Paris compte environ un tiers de l’effectif total français en astronomie. Tous les domaines de l’astronomie-astrophysique y sont étudiés, de même que certains aspects de la physique fondamentale ainsi que l’histoire des sciences et de l’astronomie.
Enseignement : L’Observatoire de Paris propose des formations en Astronomie, Astrophysique et Technologies Spatiales à tous les niveaux de l’enseignement supérieur : diplômes d’université, master, doctorat. Il accueille aussi de nombreux enseignants et animateurs scientifiques en formation continue.
¿Por qué la noche es oscura si hay infinitas estrellas? Hace ahora 200 años que Heinrich Olbers se hizo esta pregunta. La paradoja de Olbers se ha discutido desde entonces. Incluso Edgar Allan Poe buscó respuesta a una de las preguntas más hermosas de la ciencia.
Découvrez le paradoxe d’Olbers : si notre univers est infini alors il devrait y avoir une infinité d’étoiles, donc la nuit, le ciel devrait être brillant.
Si les applications commerciales et de loisir des nanosatellites font polémique, ils servent aussi à faire de la recherche. Quelles en sont les applications possibles pour la science ?
Une observation récente montre une étoile « dansant » autour d’un trou noir – l’occasion de revenir sur les descriptions du Cosmos dans l’histoire et d’en apprendre plus sur le cœur de la Voie lactée.
Le plus grand télescope du monde pourrait résoudre le plus grand nombre de systèmes planétaires, et servira aussi à étudier les objets les plus lointains et les variations les plus subtiles du cosmos.
4 000 exoplanètes découvertes, et ce n’est qu’un début. Des nouvelles techniques permettent aux astrophysiciens d’en savoir plus sur ces corps célestes qui nous fascinent.
En vous couchant le 30 mars, n’oubliez pas de retarder d’une heure votre montre, si elle n’est pas connectée : depuis plus de 40 ans, nous passons ainsi à l’heure d’été. Pourquoi, et qui la met en œuvre ?
Directeur de recherche CNRS et Directeur du laboratoire Systèmes de Référence Temps-Espace de l'Observatoire de Paris (Observatoire de Paris / PSL Research University / CNRS / Sorbonne Universités / UPMC / LNE), Observatoire de Paris
Professeur et membre du Laboratoire d'Études Spatiales et d'Instrumentation en Astrophysique (LESIA), labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris
Chef de projet C²ERES, pôle spatial de PSL Université Paris, labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France,, Observatoire de Paris
Astronome, membre du laboratoire Galaxie Etoiles Physique Instrumentation (GEPI), labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris
Chercheur CNRS à l'Observatoire de Paris, au laboratoire LESIA qui est labellisé Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ par la Région Ile-de-France, Observatoire de Paris
Ingénieur au Laboratoire d'Etudes Spatiales et d'Instrumentation en Astrophysique (LESIA), CNRS, membre du Domaine d'Intérêt Majeur ACAV+ labellisé par la Région Île-de-France, Observatoire de Paris