Implantée sur 5 campus (Pau, Bayonne, Anglet, Mont-de-Marsan et Tarbes), l’Université de Pau et des Pays de l’Adour prépare chaque année 14 000 étudiants à l’obtention d’une centaine de diplômes, de bac+1 à bac+8, en droit, économie, gestion, lettres, langues, sciences humaines, sport, sciences et technologies. Forte de 19 unités de recherche, 29 chaires d’expertise de haut niveau, 3 laboratoires internationaux et 9 laboratoires communs, en association avec de grands organismes de recherche (CNRS, Inrae, Inria) et de nombreux partenaires institutionnels et industriels, l’UPPA est un acteur majeur du développement scientifique et économique sud-aquitain.
L’Université de Pau et des Pays de l’Adour fait partie des 17 universités françaises sur 54 ayant reçu le label d’excellence IDEX ou I-SITE (Initiative Science-Innovation-Territoires-Économie) décerné par le gouvernement. Elle est également lauréate d’autres programmes d’investissements d’avenir : équipements d’excellence MARSS (label Equipex), programme d’accompagnement personnalisé des étudiants SPACE (label NCU), école universitaire de recherche GREEN (label SFRI), doublement des effectifs sur la côte basque IREKIA (label ExcellenceS). En 2022, elle a également obtenu le label « Science avec et pour la société ».
Enfin, grâce à ses coopérations internationales, l’UPPA rayonne au niveau européen avec son projet UNITA - Universitas Montium (label « Université européenne ») qui rassemble, outre l’UPPA, les universités de Turin (Italie), Savoie Mont Blanc, Beira Interior (Portugal), Timisoara Ouest (Roumanie) et Saragosse (Espagne), et qui s’ajoute au projet EDENE (European Doctoral Programme in Energy and Environment) permettant le financement de 30 doctorants internationaux en partenariat avec plusieurs acteurs industriels locaux.
Maurice Daumas, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
En ne retenant que la dimension individuelle et exceptionnelle des affaires récemment dévoilées, on s’exonère à bon compte de ce qui relève plus généralement de la domination masculine.
Manifestation dans la ville de Kisumu, le 16 octobre, pour demander une nouvelle Commission électorale.
Yasuyoshi Chiba / AFP
Christian Thibon, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Les « hommes forts » ont repris l’initiative au Kenya en recourant à la violence et aux ressentiments ethniques, aux manipulations et aux pressions institutionnelles.
Ordinateur, jeux vidéos, smartphone… les enfants visionnent des écrans très tôt.
Todd Hiestand/Flickr
Jocelyn Lachance, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
L’acte de s’informer s’individualise, y compris chez nos enfants. Les images du terrorisme leur parviennent sans qu’ils soient aptes à les décrypter. Une nouvelle culture de l’image est à enseigner.
Jan Massys ou Metsys, 1509, av. 1575 (entourage de), Tarquin et Lucrèce, c. 1550 (Palais des Beaux-Arts, Lille).
Renaud Camus/Flickr
Maurice Daumas, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Malgré le rapprochement des sexes, la misogynie et les discriminations qui affectent les femmes dans leur vie de couple n’ont pas disparu, notamment dans les relations amoureuses.
Rassemblement dans le cadre de « Nuit debout » à Toulouse, en 2016.
Pierre-Sélim/Flickr
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Lors de chaque attaque terroriste, Schengen, en tant qu’espace de libre circulation, est pointé du doigt par la candidate du Front national. Un discours qui va à l’encontre de la réalité.
Les ‘croix de Lomas’ , à Ciudad Juárez, au Mexique, symbolisent le lieu où ont été retrouvés les corps mutilés de femmes en 1996, victimes de féminicide.
Ioses/Wikimedia
Kiteri Garcia, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Si le droit français reconnaît une série de discriminations comme circonstances aggravantes du meurtre, le genre lui, demeure absent. Mais assiste-t-on à un tournant?
La mise en scène du suicide via internet ou les réseaux sociaux doit interpeller la société. Mais l'outil est-il à blamer ?
Amanda Lohr/Flickr
Jocelyn Lachance, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
L’acte choquant de se donner la mort devant un écran d’ordinateur suscite de nombreuses interrogations, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’adolescents.
Ados : pourquoi nous font-ils si peur ?
miaikransen/Pixabay
Jocelyn Lachance, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Notre représentation de l’adolescence est-elle juste ? Ou ne serait-elle pas plutôt représentative de sociétés sombrant dans le piège de la peur de nos enfants ?
Sur les lieux de l’attaque, le jour d'après.
Tobias Schwarz/AFP
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Centre antiterroriste commun, échange d’informations, directive sur les armes à feu : cahin-caha, l’Union européenne améliore sa coordination interne pour faire face à la menace terroriste.
Un agent de Frontex, à la frontière gréco-turque.
Rock Cohen/Flickr
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Depuis les attentats de novembre 2015, la France fait preuve de volontarisme politique en matière de lutte antiterroriste, donnant souvent l'impulsion au niveau européen.
A l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, Paris.
Damien Fauchot/Flickr
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Après des années de tergiversations, l’Union européenne a voté en faveur de l’instauration d’un fichier passagers pour les vols au sein de l’UE. Mais les opposants à ce dispositif restent mobilisés
Quelques heures après les attentats, dans le centre de Bruxelles.
Kenzo Tribouillard/AFP
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Face à une menace terroriste grandissante, la France somme l’Europe de prendre les mesures nécessaires. Paris lui demande surtout d’appliquer ses propres règles qui tendent vers un repli national.
Contrôles à la frontière entre la France et le Luxembourg, le 19 novembre 2015.
Jean-Christophe Verhaegen/AFP
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Plutôt que de se demander si Schengen est compatible avec la lutte antiterroriste, n’est-ce pas la volonté des États et de leurs dirigeants qui fait défaut dans la lutte antiterroriste ?
Deux soldats de l'armée belge en patrouille devant le siège de la Commission, à Bruxelles, le 24 novembre.
Benoit Doppagne/Belga /AFP
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Crise des migrants, attentats de Paris : l’Union européenne est décidée à mieux contrôler les mouvements en son sein. Mais les États membres ont du mal à renoncer à leur souveraineté en la matière.
Professeure de géographie, membre du laboratoire TREE - Transitions Energétiques et Environnementales, UMR 6031 CNRS, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Enseignant-chercheur, Institut des sciences analytiques et de physico-chimie pour l’environnement et les matériaux, CNRS, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)