Pour permettre aux 43 % d’habitants d’Afrique subsaharienne vivant sans électricité d’y avoir accès, il faudra déjà évaluer les besoins en électricité de populations qui ne l’ont jamais eue.
Attirer des industriels requiert des prix de l’électricité stables et peu élevés, ce que la libéralisation et la tarification au coût marginal, piliers de la politique de l’UE, ne garantissent pas.
L’empreinte carbone du mode de préparation est fortement influencée par la quantité de café utilisée et l’intensité carbone de l’électricité nécessaire au fonctionnement des appareils électriques.
Les activités numériques, comme l’envoi de courriels, contribuent de façon marginale à l’empreinte carbone annuelle des utilisateurs des technologies de l’information et de la communication.
L’empreinte carbone associée à l’utilisation des services numériques est dominée par la fabrication des appareils électroniques. À l’approche de Noël, une prise de conscience s’impose.
La tarification marginale, modulée selon la demande, guide depuis la Libération les prix des transports ou de l’électricité. Ce concept prend aujourd’hui une pertinence nouvelle.
La crise inflationniste actuelle ouvre une fenêtre d’opportunité pour créer un nouveau paradigme technico-économique qui avantage les technologies vertes.
L'exploitation de données satellitaires montre qu'un projet sur deux d'électrification au travers un générateur de puissance modérée n'engendre pas les gains économiques attendus.
La moindre exposition à la flambée des prix de l’énergie fossile et les dispositifs publics de soutien aux ménages ont notamment permis de limiter la hausse des prix.
Les dispositifs qui devaient favoriser la concurrence en Europe et une baisse des prix pour les consommateurs semblent aujourd'hui avoir manqué leurs objectifs.
La suspension de l’exploitation d’une trentaine de contrats de délégation de service public depuis début septembre ne peut se justifier juridiquement par l’envolée des coûts de l’énergie.
C’est désormais l’un des principaux défis auxquels sont confrontées les entreprises : construire des modèles économiques à la fois durables, rentables et attractifs pour le grand public.
La mesure, en vigueur depuis octobre 2021, a permis de limiter à 0,6 % au lieu de 2,1 % les pertes des revenus des ménages engendrées par la crise du Covid et la guerre en Ukraine.
Les taxes et les coûts de transport mais aussi le financement de la transition énergétique expliquent notamment pourquoi la libéralisation n’a pas, comme attendu, conduit à une baisse des prix.