Dans l'ensemble, les différences dans les connaissances des disciplines des enseignants pourraient expliquer un tiers des différences de niveaux des élèves entre les 14 pays.
Au Burundi, le pouvoir politique n’a eu de cesse, depuis des années, de bâillonner la presse. La mort du président Pierre Nkurunziza pourra-t-elle changer la donne ?
La présence du coronavirus dans la région des Grands Lacs africains ravive des tensions existantes et nuit aux échanges commerciaux, à la démocratie et aux droits de la personne.
Face aux aspirations au changement, les forces au pouvoir ont généralement fait preuve d’une grande capacité de résistance et d’adaptation. Partout elles l’ont emporté, sauf au Kenya à ce jour.
C’est l’un des plus vieux lacs de la planète, unique pour sa biodiversité. Il nourrit des millions d’Africains mais les activités humaines menacent plus que jamais son équilibre.
Le dictateur gambien Yahya Jammeh a été contraint de respecter le verdict des urnes après 22 ans de pouvoir absolu. S’agit-il d’un nouvel indicateur de progression de la démocratie en Afrique ?
Après deux guerres civiles particulièrement dramatiques, en 1994 au Rwanda et 2005 au Burundi, on assiste à l’inversion des dominations politico-ethniques qui s’étaient instaurées à l’indépendance.
Après des mois de crise aiguë, le régime du président Pierre Nkurunziza dit avoir la situation bien en main. Mais cette stabilisation de façade ne dissipe pas les inquiétudes au sein de la population.
Alors que l’ONU s’inquiète d’un risque de génocide au Burundi, le pays a encore les moyens d’éviter le pire, notamment grâce à la force des liens sociaux. Mais le temps est compté.
L’année 2016 donnera lieu à 16 scrutins en Afrique. De plus en plus de voix sur le continent s’élèvent pour supprimer la limitation des mandats avec des arguments qui valent d’être examinés.