Lumières enchanteresses ou de mauvais augure, elles font partie des mythes et de l’identité des régions polaires. Qu’apprennent-elles aux scientifiques de nos jours ?
Les bulles de champagnes, le nuage au débouchage de la bouteille et les « embruns » au-dessus des coupes de champagne n’auront plus de secrets pour vous.
De nouvelles méthodes, comme les « nez électroniques », permettent de détecter les molécules spécifiques émises par les plantes malades ou d’en déceler les symptômes.
La poussière de l’astéroïde Ryugu devrait nous aider à mieux comprendre la formation du système solaire, entre origine de l’eau sur Terre et origine de la matière carbonée.
Une étude récente montre que l’eau de la Terre pourrait provenir directement de l’oxygène et l’hydrogène présents dans les roches qui l’ont formée, et non d’un apport tardif par des astéroïdes.
Certains polluants subsistent dans l’eau malgré les traitements appliqués en station d’épuration. La technologie « électrochimique sans-fil » permet de mieux traiter les eaux polluées.
Zoom sur un sujet de thèse, mis en BD dans le cadre de « Sciences en bulles » : la dégradation de la chlordécone, un insecticide qui a fait des ravages dans les Antilles françaises.
Anne Michelin, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Pourquoi certaines peintures bleu outremer palissent-elles et d’autres non ? Quand la chimie apporte des réponses et des solutions aux restaurateurs d’œuvres d’art.
Qu’ont en commun le nitrate d’ammonium et l’iode ? Ces deux substances nous rendent d’immenses services, et l’histoire de leur découverte est intimement liée à celle de la production d’explosifs.
Comment le SARS-CoV-2 s’arrime-t-il aux cellules humaines ? Peut-on modifier cet assemblage ? Les simulations moléculaires permettent d’étudier ces interactions, à l’atome près.
Pour qu’il y ait combustion, il faut de l’oxygène. Les granulés de nitrate d’ammonium fournissent un apport d’oxygène beaucoup plus concentré que l’air qui nous entoure.
Utiliser l’énergie solaire pour transformer le méthane en éthane à température ambiante pourrait permettre de fabriquer des plastiques, par exemple, sans émettre de CO₂.
Si la durabilité des systèmes alimentaires est menacée aujourd’hui par un excès de calories d’origine animale, elle l’est également, et c’est bien moins connu, par les calories ultratransformées.
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)