Durant toute la durée de la COP21, les étudiants du Master journalisme et médias numériques de l’Université de Lorraine illustreront chaque jour un aspect de la conférence climat.
Manifestation de militants écologistes devant la Maison-Blanche (Washington), en février 2013.
Richard Clement
Si Washington s’oppose à un accord sur le climat qui serait, à l’image du Protocole de Kyoto, juridiquement contraignant, il insiste sur la nécessaire « transparence » des engagements nationaux.
La Russie possède beaucoup de gaz, mais a besoin d’autant de chaleur.
Ilya Naymushin/Reuters
Dotés d’immenses ressources forestières et énergétiques, les autorités gouvernementales russes ne sont pas candidates au compromis climatique.
Des centaines de manifestants kenyans défilent à Nairobi, le 14 novembre 2015, pour exhorter les dirigeants africains à agir en faveur de la justice climatique.
Simon Maina/AFP
Contenir les effets du changement climatique en faisant converger le droit des pays les plus riches et celui des pays en développement, tel est l’enjeu de l’équité climatique.
Les attentats qui viennent de frapper Paris pousseront peut-être les dirigeants attendus à la COP21 à redoubler d’efforts pour faire bloc et atteindre un accord sur le climat.
Avec la récente victoire de Donald Trump à la présidence des États-Unis, le climatoscepticisme refait parler de lui. Quels sont les arguments de ceux qui dénoncent le « complot réchauffiste » ?
Manifestation pour le climat, 2011.
Michel van Reysen/Flickr
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Dans le troisième volet de sa contribution sur climatoscepticisme et opposition aux OGM, Philippe Huneman montre comment la défiance envers les experts n’est pas une posture tout d’un bloc.
Le champ d’éoliennes d’Adama, en Éthiopie. Ce pays s’est engagé à réduire de 64 % ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. La contribution nationale la plus ambitieuse.
Tiksa Negeri/Reuters
S’éloignant du système contraignant du Protocole de Kyoto, l’accord attendu à la COP21 sera négocié sur la base des contributions nationales, ces engagements volontaires des États en faveur du climat.
Manifestation contre les OGM à Paris, 2013.
Fred Dufour/AFP
Philippe Huneman, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
À l’occasion de la COP 21, les sceptiques du climat refont parler d’eux. S’inscrivent-ils dans un mouvement de défiance envers la science où l’on trouverait aussi les anti-OGM ? Rien n’est moins sûr.
Un ouvrier d’une centrale à charbon en Chine. La combustion des énergies fossiles (pétrole, charbon) provoque des émissions de CO2, le plus important gaz à effet de serre d’origine anthropique.
Reuters
Quels sont les effets sur le climat de ces composants qui ont été au centre des discussions de la Conférence des parties (COP21) de Paris ?
À San Ramon Centro, au Honduras, un pays où les habitants les moins fortunés figurent parmi les plus faibles émetteurs de CO2e au monde.
STR New/Reuters
Pour contribuer à une authentique justice climatique, il convient d’aborder la question des émissions de CO₂e à un niveau individuel et pas seulement de pays à pays.
La « Conférence des parties » est une grande réunion mondiale dont les décisions tirent leur légitimité du multilatéralisme et de la participation de la totalité des États de la planète.
Une manifestation contre la présence des 4x4 en ville, à Paris en 2005.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat vient de se choisir un nouveau président. Parviendra-t-il à rendre les travaux de ses chercheurs plus accessibles ?
Sauver les forêts de la disparition, un des enjeux de la conférence de Paris.
Sze Ning/Wikimedia
Alors que la COP21 de Paris approche, une série en trois articles pour identifier les enjeux de la prochaine grande conférence internationale sur le changement climatique.
Un jeune agriculteur éthiopien.
C. Robinson/CIMMYT
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)