En Ukraine, Moscou vise volontairement des installations énergétiques dans le cadre de son « opération militaire » au risque de causer des dommages graves aux populations civiles.
Les enquêteurs s’appuie de plus en plus sur des photos, vidéos et autres documents postés sur les réseaux sociaux pour démontrer l’existence de crimes internationaux et identifier leurs auteurs.
Cœur, poumons… le trafic d’organes en Chine offre un catalogue aux patients les plus riches en attente de greffes. D’où viennent ces organes ? Les prisons chinoises détiennent les réponses…
Deux universitaires ont identifié les auteurs d’un massacre commis en 2013 par les forces loyalistes syriennes. Un épisode qui en dit long sur la réalité de la Syrie de ces dix dernières années.
Reconnu par vingt-neuf pays, le génocide arménien est encore nié par l’État turc. Ce tabou mémoriel est un enjeu crucial avec le droit des Kurdes et une démocratisation de la Turquie.
Pour que Vladimir Poutine et les principaux acteurs de son régime puissent être jugés par la Cour pénale internationale, de nombreuses conditions doivent être réunies. À ce stade, on en est loin…
Les violences sexuelles commises par les soldats russes en Ukraine ne sont pas de simples « dérapages » individuels. Ce sont des armes de guerre et les femmes en sont les principales cibles.
L’identification des corps est une priorité pour que les familles puissent dignement enterrer les leurs. Ce travail est également indispensable en vue d’éventuelles poursuites judiciaires.
La Cour pénale internationale a lancé une enquête qui s’annonce longue et difficile pour établir si des crimes de guerre ont été commis dans le cadre de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
L’ouverture d’une enquête de la Cour pénale internationale sur les crimes commis lors des manifestations de ces dernières années n’aboutira pas nécessairement à un procès. Voici pourquoi.
Alain Blum, Ined (Institut national d'études démographiques) and Marta Craveri, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Le régime russe vient d’ordonner la liquidation de la principale ONG du pays travaillant sur la mémoire des crimes du stalinisme. De nombreux projets continuent toutefois de faire vivre cette mémoire.
Plus de 70 ans après les faits, l’Allemagne juge encore de vieux criminels nazis. La longueur exceptionnelle de ce processus s’explique par l’histoire judiciaire du pays.
Alors qu’un nouveau cycle politique commence en Guinée, les espoirs de voir les responsables du massacre du 28 septembre 2009 être enfin jugés sont grands mais ils risquent d’être encore déçus.
Les impératifs économiques ne suffisent pas à expliquer la poursuite des activités du cimentier entre 2011 et 2014. Des facteurs liés à l’organisation de l’entreprise ont également pu peser.
Dans cet épisode de « Secrets de Terrain », Estelle Amy de la Bretèque raconte comment, en Arménie, elle découvre les lamentations et le monde intime des femmes yézidies.
L’Allemagne a présenté ses excuses à la Namibie pour le génocide de 1904-1908, et promis de verser des réparations. Cette page tragique de l’Histoire n’est pas refermée pour autant.
Professeur d'université, agrégé de droit public, compétences en Droit international, anthropologie du droit, Sciences Po Aix. UMR ADES 7268, Aix-Marseille Université (AMU)