Donald Trump dans une salle d’audience du tribunal de New York pendant la sélection du jury de son procès dans l’affaire Stormy Daniels.
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Donald Trump cherche à présenter son procès pour falsification de documents dans l’affaire Stormy Daniels comme une attaque politique à son encontre.
Des partisans de Bassirou Diomaye Faye brandissent des pancartes à Mbour, le 22 mars 2024, pour le meeting de clôture de la campagne présidentielle.
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Bassirou Diomaye Faye va faire face à une forte demande de réformes liées à la gouvernance.
Bassirou Diomaye Faye, candidat de l'opposition à l'élection présidentielle sénégalaise, donne sa première conférence de presse après avoir été déclaré vainqueur de l'élection présidentielle sénégalaise, à Dakar, le 25 mars 2024.
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Les épaules de cet homme à la silhouette chétive seront-elles assez solides pour arborer le costume présidentiel ?
Des électeurs font la queue pour voter devant un bureau de vote à Zinguinchor le 24 mars 2024 lors des élections présidentielles sénégalaises.
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Douglas Yates, American Graduate School in Paris (AGS)
Avec le déroulement de l'élection du 24 mars, il semble que le président sénégalais Macky Sall ait préservé son héritage.
Des manifestants barricadent une rue en réaction au report de l'élection présidentielle à Dakar, au Sénégal, le 9 février.
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Amy Niang, Council for the Development of Social Science Research in Africa
Les tentatives de report l'élection au Sénégal montrent des problèmes de gouvernance sous l'administration de Macky Sall et les faiblesses de son successeur désigné, Amadou Ba.
Des partisans de l'opposition chantent et dansent lors d'un meeting avant le procès de leur leader, Ousmane Sonko, à Dakar, le 14 mars 2023.
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Ousmane Sonko paraît plus comme le symbole d’un Sénégal au “pluralisme intégrateur”, d’un cousinage à plaisanterie performatif qu’il faut certainement raviver au nom de la cohésion sociale.
Des gendarmes sénégalais patrouillent lors des manifestations à Dakar, le 4 février 2024, pour protester contre le report de l'élection présidentielle.
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Pour que l’image de la démocratie sénégalaise puisse retrouver son lustre d'antan, il va falloir que le Conseil constitutionnel confirme les décisions qu'il avait déjà rendues
Vue aérienne d'un navire d'hébergement auto-élévateur, qui servira à la phase I du projet du champ pétrolier Greater Tortue-Ahmeyim (GTA) de BP au large de la Mauritanie et du Sénégal.
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Malgré de réelles opportunités liées notamment à l’exploitation du pétrole et du gaz, le prochain président doit relever les défis liés à la création de richesse et la promotion de l’emploi.
Un partisan de l'opposition réagit devant une barricade en feu lors des manifestations appelées par les partis d'opposition à Dakar le 4 février 2024.
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Les facteurs de stabilité politique pourraient être recherchés dans l’analyse institutionnelle, le rôle des forces politiques et la responsabilité des mouvements sociaux entendus au sens large.
Un gendarme sénégalais en alerte à proximité de pneus en feu lors d'une manifestation à Dakar, le 29 mai 2023.
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Douglas Yates, American Graduate School in Paris (AGS)
Le Sénégal est considéré comme la démocratie la plus stable d'Afrique de l'Ouest, car il n'a jamais connu de coup d'État. Mais tous ses anciens présidents ont tenté de prolonger leur mandat.
L'opposant Succès Masra, nouveau Premier ministre du Tchad, depuis 1er janvier 2024.
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Entre trahison, rétropédalage, changement de paradigme, coup de poker Succès Masra n’a pas consulté la base comme d’habitude avant d’accepter d’être nommé Premier ministre.
Le président Félix Tshisekedi salue ses partisans après sa réélection à Kinshasa, le 31 décembre 2023.
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Il est à craindre que les protagonistes du refus de recours au profit des manifestations de rue ne soient en train de mal négocier le tournant démocratique en cours.
Naim Kayed, de l’association American Muslims for Palestine-Philadelphia, lors d’une manifestation de soutien aux Palestiniens au Montgomery County College, où Joe Biden prend la parole, le 5 janvier 2024 à Blue Bell, en Pennsylvanie.
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Les Américains musulmans ont voté à une écrasante majorité pour Joe Biden en 2020. Ce ne sera très probablement pas le cas en novembre prochain.
Les neuf membres actuels de la Cour suprême. Au premier rang, de gauche à droite : Sonia Sotomayor, Clarence Thomas, John G. Roberts, Jr, Samuel A. Alito, Jr, et Elena Kagan. Au deuxième rang, de gauche à droite : Amy Coney Barrett, Neil M. Gorsuch, Brett M. Kavanaugh et Ketanji Brown Jackson.
Fred Schilling, Collection of the Supreme Court of the United States
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
La Cour suprême est certes à majorité conservatrice. Cela n’implique pas pour autant qu’elle va systématiquement favoriser Donald Trump.
Sur la scène internationale, l’UE semble bien faible face aux grandes puissances. L’année qui s’ouvre pourrait être décisive pour acter son déclin ou, au contraire, son rétablissement.
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Confrontée à la montée des partis eurosceptiques à l’intérieur et aux pressions russes, chinoises et américaines à l’extérieur, l’UE pourra-t-elle connaître un sursaut salvateur ?
Donald Trump et Joe Biden se sont déjà affrontés en 2020, avec l’issue que l’on sait. Depuis, l’ancien président n’a cessé d’attaquer son successeur, comme lors de ce meeting à Miami en novembre 2022. Les deux hommes devraient se disputer à nouveau la Maison Blanche en novembre prochain.
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Elisa Chelle, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Trump ? Biden ? Ou quelqu’un d’autre ? La course à la présidentielle américaine tiendra l’Amérique et le monde en haleine jusqu’à l’élection du 5 novembre prochain.
Des affrontements ont éclaté au Sénégal à la suite de la condamnation du chef de l'opposition Ousmane Sonko à deux ans de prison pour “corruption de la jeunesse” en juin 2023.
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L'ambiguïté de Macky Sall sur sa candidature à un troisième mandat, la perception d'un système judiciaire militarisé et la détention abitraire d'opposants sont les moteurs de la violence politique.
Donald Trump à la rencontre de ses partisans, à Urbandale, dans l’Iowa, le 1er juin 2023.
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Donald Trump demeure le grand favori aux primaires républicaines de 2024, malgré l’entrée en lice de nouveaux candidats. La multiplication des candidatures pourrait même le favoriser.
Le chef de l'opposition, Ousmane Sonko, lors d'un meeting à Ziguinchor le 24 mai 2023.
Photo : MUHAMADOU BITTAYE/AFP via Getty Images
Le maire de Ziguinchor dérange pour plusieurs raisons. La première est son discours antisystème qui lui vaut l’affection d’une jeunesse sénégalaise, voire africaine, à la recherche de repères sûrs.
Professeur émérite juriste et américaniste, spécialiste des États-Unis, questions politiques, sociales et juridiques (Cour suprême), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières