Des partisans du président américain Donald Trump portent des masques « Fake News » devant le centre où les bulletins de vote sont comptés, à Detroit, Michigan, le 5 novembre 2020.
Seth herlad / AFP
Pour contrer les nombreuses stratégies de manipulation de l'information orchestrées par le camp Trump, fact-checkers et médias mainstream se sont fortement mobilisés, avec des succès mitigés.
La Cour suprême américaine, à Washington DC.
Al Drago/AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump menace de saisir la Cour suprême et d’utiliser tous les recours légaux possibles pour remporter l’élection. Sauf que la justice américaine n’est pas l’arbitre dont il rêve.
Drew Angerer / Getty Images North America/Getty Images via AFP
Joe Biden a été annoncé vainqueur des élections présidentielles américaines mais il devra potentiellement faire face à un Sénat et des gouvernements locaux qui ne lui seront pas acquis.
Observation des résultats de l'élection présidentielle le soir de l'élection dans la communauté de retraités de The Villages, en Floride.
Ricardo Arduengo/AFP via Getty Images
Même avec la victoire de Biden, le trumpisme s’est invité pour longtemps dans le paysage politique américain.
Le député ‘Groupe Gauche démocrate et républicaine’ Sebastien Jumel demande une suspension de session durant des débats houleux autour du projet de loi sur la réforme des retraites, le 7 février 2023.
Ludovic Marin/AFP
L’insulte en politique n’a pas été inventée par Trump, juste mise en exergue dans sa campagne. L’histoire montre que le duel langagier et les invectives relèvent du fondement même de la politique.
Un électeur dépose son bulletin de vote par correspondance à la Seacoast Church West Ashley, le 30 octobre 2020 à Charleston, en Caroline du Sud.
Michael Ciaglo/Getty Images North America/Getty Images via AFP
Le scrutin majoritaire en vigueur aux États-Unis comme dans la quasi-totalité des pays du monde reflète imparfaitement les préférences des électeurs et pourrait de nouveau bénéficier à Donald Trump.
Donald Trump dans le Bureau ovale, le 17 septembre 2020.
Saul Loeb/AFP
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Analysons les scénarios de tensions autour du scrutin du 3 novembre et ce que peut le droit pour empêcher le président sortant de s’accrocher au pouvoir en cas de défaite.
De nombreux Blancs voient dans Donald Trump un rempart contre la perte de leur statut. Ici lors d'un meeting de campagne du président sortant en Pennsylvanie le 22 septembre 2020.
Mandel Ngan/AFP
Lauric Henneton, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Une partie considérable des Blancs américains vivent douloureusement l’érosion progressive du statut dominant – sur le plan démographique, politique et culturel – qui a longtemps été le leur.
Le sénateur Joe Biden au Capitole, à Washington, pour annoncer une nouvelle loi contre la criminalité en 2007.
Win McNamee/Getty Images/AFP
Donald Trump fait campagne en revendiquant «la loi et l'ordre» et accuse son adversaire d'être laxiste en la matière. Des accusations fausses tant Joe Biden a signé de lois sécuritaires.
A Charlotte, en Caroline du Nord, des fonctionnaires préparent les enveloppes dédiées au vote par correspondance, ouvert dès le 4 septembre.
Logan Cyrus/AFP
Le sujet central de ce scrutin n’est pas la fraude, comme la martèle pourtant le président, mais les questions de logistique et de moyens mis en place par chaque État.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé sa candidature à un troisième mandat le 6 août. L'opposition lui conteste le droit de se représenter.
Sia Kambou/Afp
À l’instar de la Côte d’Ivoire, le spectre des présidences à vie plane sur beaucoup de pays africains. Aussi l’Union africaine devrait-elle imposer la limitation du nombre de mandats à deux.
Le secrétaire général de EELV Julien Bayou a récemment déclaré sa candidature à la présidence de la région Ile-de-France. Le parti écologiste ne compte pas s'arrêter là. Pantin le 22 août.
ALAIN JOCARD / AFP
La candidature de Julien Bayou à la région Île-de-France souligne l’ambition d'EELV et son espoir de réaliser une union solide avec la gauche. Mais de nombreux points restent dans l’ombre.
Des membres de la Coalition for Humane Immigrant Rights (CHIRLA), le plus grand groupe de défense des droits des immigrés en Californie, brandissent des pancartes portant la mention « Menteur », en anglais et en espagnol, lors du discours du président Trump sur l'état de l'Union, le 5 février 2019, à Los Angeles, en Californie.
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Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Donald Trump, on le sait, a un rapport particulier à la vérité, son administration ayant notamment forgé le concept éloquent de « faits alternatifs ». On le constate encore dans la campagne actuelle.
Manifestation de l'opposition à Minsk le 16 août 2020.
Sergei Gapon/AFP
L’explosion de mécontentement de la population du Bélarus après la récente présidentielle a pris de court l’inamovible dirigeant autoritaire Alexandre Loukachenko.
Une manifestante tient une pancarte représentant le président Alexandre Loukachenka, sur laquelle on peut lire « Pars », à Minsk le 14 juillet 2020. Au fond, des affiches invitent les citoyens à se rendre aux urnes lors de la présidentielle du 9 août prochain.
Sergei Gapon/AFP
La campagne électorale en vue de la présidentielle qui se tiendra en Biélorussie le 9 août prochain est marquée par une contestation croissante du président Loukachenka, au pouvoir depuis 1994.
Le président polonais Andrzej Duda s'adresse à ses partisans après l'annonce des résultats des sondages de sortie des urnes oà Pultusk, le 12 juillet 2020.
Janek Skarzynski/AFP
Pourquoi tant d’émotions au sujet de ce remaniement et pourquoi avoir changé de Premier ministre ? La stratégie d’Emmanuel Macron en trois interprétations.
Vue du fauteuil du président de l'Assemblée nationale.
Benoit Caen/Wikimedia
Un régime n’est démocratique que si le peuple jouit, individuellement et collectivement, de la possibilité permanente de contester les décisions de son gouvernement.
Des partisans de Joe Biden en prière pendant un meeting de leur candidat, le 29 février 2020 à Columbia, Caroline du Sud.
Spencer Platt/Getty Images North America/AFP
Tous les candidats à la primaire démocrate, ainsi que le président Trump, se disent croyants. Mais chacun le fait à sa façon. Quel impact ces appartenances confessionnelles ont-elles sur l’électorat ?
Professeur émérite juriste et américaniste, spécialiste des États-Unis, questions politiques, sociales et juridiques (Cour suprême), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières