Une pancarte avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz (ÖVP) et le vice-chancelier Heinz - Christian Strache (FPÖ) barrés lors d'une manifestation contre le gouvernement autrichien actuel et pour une politique d'asile humaine à Vienne, le 13 janvier 2018.
Alex Halada / AFP
Cette affaire pointe du doigt les relations troubles entre le FPÖ et la Russie, et plus généralement entre les partis d’extrême droite et le Kremlin.
Le premier ministre Pedro Sanchez (à gauche) accueillant le dirigeant de Ciudadanos Albert Rivera au Palais de La Moncloa à Madrid, le 7 mai 2019.
Gabriel Bouys / AFP
Si les élites allemandes restent très pro-européennes, un quart de l’électorat outre-Rhin estime que les inconvénients l’emportent sur les avantages apportés par l’Union européenne.
(De g. à d.) Olli Kotro, membre du parti conservateur finlandais. Joerg Meuthen, porte-parole de l'AfD en Allemagne. Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur italien et Anders Primdahl Vistisen, membre du Parti populaire du Danemark, le 8 avril 2019 lors d'une réunion des nationalistes européens à Milan.
Miguel Medina/AFP
Aujourd’hui, la devise des nationalistes européens n’est plus « L’Europe, tu l’aimes ou la quittes » mais « L’Europe, tu ne l’aimes pas mais tu ne la quittes pas ».
Le dirigeant de Vox, Santiago Abascal, au soir des résultats du 28 avril 2019.
Oscar del Pozo / AFP
Malgré l’obsession de la presse américaine pour l’« empire » Fox News, l’idée que la chaîne d’information exerce un pouvoir politique sans précédent aux États-Unis est excessive.
Les partisans du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) célèbrent la victoire devant le siège du parti à Madrid, le 28 avril 2019.
Javier Soriano/AFP
Un parti socialiste ressuscité, des conservateurs aux abois, Podemos en arbitre et le mouvement Vox qui entre au Parlement : c’est un nouveau paysage politique qui a émergé en Espagne ce dimanche.
Rassemblement à Hanau, près de Francfort, contre la haine et la xénophobie. Un manifestant porte une pancarte représentant le dirigeant du parti d'extrême-droite AfD en Thuringe, Bjoern Hoecke avec les mots ‘plus jamais’ le 20 février 2020.
Odd ANDERSEN / AFP
Assisterions-nous à la lente prolifération et acceptation de la haine ? Celle-ci est encouragée par l'effondrement du système éducatif, le détournement du savoir et la passivité politique et éthique.
Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie et des Finances en visite au Puy du Fou en 2016 avait qualifié le parc de « joyau culturel et économique ».
Loic Venance/AFP
Le parc d’attractions du Puy du Fou cache une autre réalité derrière son ambiance bon enfant : les nationalismes européens y puisent une partie de leur arsenal culturel.
Contrôle de migrants à Malmö (ici le 12 novembre 2015), après le rétablissement de contrôles aux frontières par le gouvernement.
Asger Ladefoged/AFP
Sous la pression d’une extrême droite qui monte en puissance, les autorités de Stockholm ont peu à peu remis en cause la tradition d’accueil et d’hospitalité du pays.
Des membres de l'Escouade tactiques repoussent des gens du public après la fusillade à la mosquée Masjid Al Noor, à Christchurch, en Nouvelle-Zélande.
AAP/Martin Hunter
Les Néo-Zélandais sont naïfs quant à la nécessité d'être tolérants à l'égard des intolérants. Quelle que soit la taille des communautés extrémistes, elles représentent une menace bien réelle.
Session au Parlement européen, à Strasbourg, en février 2019.
Frédérick Florin/AFP
Des mesures donnant plus de pouvoir au Parlement européen en matière fiscale pourraient enrayer la baisse du taux de participation aux élections. Reste à en convaincre Paris, Rome et Berlin.
Le Mur des Noms du Mémorial de la Shoah de Paris, sur lequel est citée Simone Veil (née Jacob).
Stéphane de Sakutin/AFP
Entre les affirmations lancées sur les plateaux télévisés par les éditorialistes et la réalité des établissements scolaires, il existe un écart fort. Explications.
Profanation au «Jardin du souvenir», à Champagne-au-Mont-d'Or, près de Lyon.
Jeff Pachoud / AFP
Après une baisse significative durant les années 1990-2000, l’antisémitisme de l’extrême droite se manifeste de nouveau violemment et bruyamment, dans un milieu extrémiste de droite radicalisé.
Le mur sur la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis (ici côté Ciudad Juarez, côté mexicain).
Joe Raedle/AFP
Si tous les présidents américains depuis Bill Clinton, dans les années 90, ont parlé de la question des immigrés illégaux, aucun n'a à ce point dramatisé la situation.
Emmanuel Macron et le président du Conseil italien, Giusepe Conte, le 15 juin 2018 à Paris.
Ludovic Marin / AFP
La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
L'une des statues de la place de la République à Paris a le visage à demi dissimulé par un drapeau européen. Manifestation du 4 février 2019.
JOEL SAGET / AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La recrudescence des agressions antisémites doit être lue dans le contexte de violence qui affecte notre pays, alors que fleurissent les fake news et que le « complotisme » fonctionne à plein régime.
Les dirigeants de VOX, à Séville, le 3 décembre 2018.
JORGE GUERRERO / AFP
Christian Hoarau, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
L’examen de plusieurs enquêtes réalisées récemment atteste de la proximité idéologique et politique entre Vox et la droite traditionnelle, le Parti populaire, mais aussi avec les libéraux.
Politiste, historien des idées, chercheur associé EPHE, professeur de science politique à l'Université de Mons, Agence Universitaire de la Francophonie (AUF)