Valérie Daux, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay and Olivier Aballain, ESJ Lille (École supérieure de journalisme de Lille)
Les épisodes secs se multiplient un peu partout sous les tropiques. Une équipe de chercheurs travaille sur les conifères d’Amérique du Sud pour mieux comprendre ce phénomène.
Philippe Ciais, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA); Anna Peregon, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), and Cathy Nangini, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Avec une urbanisation mondiale galopante, la mesure précise des émissions de CO₂ des villes devient un enjeu majeur. Or il existe de forts contrastes dans la manière dont sont effectués ces relevés.
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Que ce soit pour des raisons climatiques, sanitaires ou simplement pour le plaisir des yeux, les arbres sont essentiels aux citadins. Nombre de métropoles l’ont déjà compris.
Attendu pour octobre 2018, le rapport des experts du climat sur l’objectif d’un maximum de 1,5 °C de réchauffement soulève de nombreuses questions, notamment sur le rôle des émissions négatives.
Cette année sera décisive pour les négociations climatiques avec la parution du nouveau rapport du GIEC à l’été et la tenue de la COP24 en Pologne en décembre prochain.
Reconnue aux États-Unis, la « fiction climatique » reste encore discrète en France. Passer par le récit semble pourtant efficace pour éveiller les consciences aux dangers climatiques.
Nos solutions techniques ne sont pas des solutions miracles. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’énergie et encore davantage dans celui du changement climatique.
Arrêter de brûler charbon, pétrole et gaz naturel pour se tourner vers un développement économique « bas carbone », tel est le défi de la transition énergétique engagée ces dernières années.
Problème global, le changement climatique nécessite une coopération de tous les États. C’est ce qui rend la lutte en ce domaine si ardue, comme l’illustrent les discussions de la COP23 à Bonn.
Marc Bied-Charreton, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay and Robin Duponnois, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Comment le changement climatique, la pression démographique et des pratiques agricoles peu adaptées menacent l’environnement d’une dégradation parfois irréversible dans les zones sèches de la planète.
Des travaux scientifiques montrent que les activités humaines favorisent la survenue plus fréquente d’épisodes caniculaires. Les hautes températures de juin s’inscrivent dans cette dynamique.
Du « Sommet de la Terre » à Rio en 1997 au récent retrait de l’Accord de Paris en juin 2017, Washington a toujours traité les négociations climatiques sous l’angle économique.
Confronté à une immense pauvreté et d’incessants conflits, les effets du changement climatique fragilisent encore un peu plus ce pays d’Afrique centrale.
Ce groupe d’experts internationaux, dont le rôle est d’évaluer l’état des connaissances sur le climat et de produire des rapports pour les décideurs, entre dans une période de turbulences inédite.
Depuis son arrivée au pouvoir, l’administration Trump se distingue par une politique de dérégulation qui remet en cause le rôle des États-Unis dans la lutte contre le réchauffement climatique.
La « Marche pour les sciences » qui aura lieu aussi en France demain est l’occasion de rappeler qu’en travaillant à l’avancée des connaissances les scientifiques aident les citoyens.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Chargé de recherches du Fonds de la recherche scientifique (F.R.S.-FNRS) au Centre d’Études du Développement Durable, Université Libre de Bruxelles (ULB)