Contre l’usage et la réappropriation politique voire polémique de l’expression « judéo-chrétienne » le terme « abrahamique » offre une alternative apaisée.
Gérald Darmanin et Marlène Schiappa arrivent à la préfecture de l'Essonne, à Évry, pour une réunion sur le projet de loi « confortant les principes républicains », le 9 décembre 2020.
Thomas Samson, AFP
Le projet de loi « confortant les principes républicains » prend le risque de stigmatiser les musulmans et ne s’attaque pas aux discriminations qui demeurent importantes en France.
Emmanuel Macron a prononcé le 2 octobre un discours dans lequel il a exhorté au «réveil républicain» aux Mureaux (Yvelines).
Ludovic Marin, AFP
Le projet de loi «confortant les principes républicains » prend paradoxalement le risque d’affaiblir ces principes car il ne s'attaque pas aux inégalités qui touchent certaines populations.
Un fidèle prie durant le Ramadan, en mai 2018, dans la mosquée Mesjed Ennour, au Havre.
Charly Triballeau, AFP
La loi « confortant les principes républicains » vise une organisation plus efficace et transparente du culte musulman.
Un manifestant en Palestine dénonce les propos d'Emmanuel Macron avec une bannière lisant ‘Tous sauf le prophète’, le 26 octobre 2020.
MOHAMMED ABED / AFP
Réputé plutôt accommodant avec l’islam et les musulmans à son accession au pouvoir en 2017, Macron a étonné le monde musulman par sa soudaine fermeté contre le « séparatisme islamique ».
Le président français Emmanuel Macron rencontre son homologue turc Recep Tayyip Erdogan au siège des Nations unies lors de l'Assemblée générale annuelle des Nations unies à New York le 25 septembre 2018.
Ludovic Marin/AFP
L’ironie des tensions qui opposent la France et la Turquie, et leurs présidents respectifs, Emmanuel Macron et Recep Tayyip Erdoğan, réside dans les nombreuses similarités qui les caractérisent.
Des membres du Secours islamique de France distribuent une part de bûche et des kit d'hygiène à des sans abris lors d'une maraude de noël, le 24 décembre 2009 à Saint-Denis.
MEHDI FEDOUACH / AFP
Les ONG musulmanes françaises se trouvent soumises à une double injonction paradoxale comme de nombreux Français musulmans, soupçonnés soit de « communautarisme » soit de prosélytisme.
Un militaire de l'opération Sentinelle en vigilance devant une église à Marseille le 3 novembre 2020.
Christophe SIMON / AFP
Une étude récente montre que contrairement à certains discours, la population « musulmane » en France fait très largement confiance aux institutions de la République.
Veillée à Nice devant la basilique Notre-Dame de l'Assomption le 31 octobre 2020.
Valery HACHE / AFP
Vue d’Australie, la suite d’événements tragiques – et attaques terroristes – illustre certaines faiblesses de la France, notamment sa capacité à rassembler et à ne pas apprendre du passé.
Lors d'une manifestation à Istanbul le 13 septembre 2020.
Ozan Kose/AFP
Erdogan cherche à se poser en chef de file du monde sunnite et à accroître son influence régionale. C’est dans ce contexte qu’il faut analyser ses récentes passes d’armes avec Macron.
Des élèves, le 16 octobre 2012, dans une classe de l'Institut européen des sciences humaines (IESH) à Saint-Leger-de-Fougeret, dans le centre de la France.
Jeff Pachoud/AFP
Malgré la présence de règles, les demandes d’accommodements au travail pour des raisons religieuses restent généralement tranchées par le superviseur direct du salarié.
Devant le collège du Bois d'Aulne, à Conflans Sainte-Honorine, où enseignait Samuel Paty, le 19 octobre 2020.
Anne-Christine Poujoulat/AFP
L’assassinat de Samuel Paty cherche à dominer par l’effroi l’esprit des millions de personnes qui constituent la communauté éducative dans notre pays.
Dans un discours prononcé aux Mureaux (Yvelines) le 2 octobre, Emmanuel Macron s'est dit favorable à un «islam des Lumières».
Ludovic Marin/ POOL / AFP
Le séparatisme est un phénomène large qui prend appui sur une logique identitaire, mélange d’idéologie et d’appartenance ethno-religieuse. Faut-il pour autant le prendre comme cadre de référence ?
Le Roi Philippe participe à un repas pour l'Iftar lors de la rupture du jeûne pour Ramadan à Evergem, en Belgique le 12 juin 2017.
DIRK WAEM / Belga / AFP
La Belgique comme d’autres pays européens est confrontée à de nombreuses crispations autour de la place de l’islam et de son insertion dans la société.
Les pèlerins entrent dans la Grande Mosquée de Touba le 28 octobre 2018, le jour du Grand Magal des Mourides.
Seyllou/AFP
Cheikh Sokhna, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La célébration du Magal de Touba devra nécessairement intégrer des mesures visant à atténuer le risque de transmission de la Covid-19. Voici quelques recommandations utiles.
Emmanuel Macron doit s'exprimer le 2 octobre sur la question des ‘séparatismes’ en France.
Christophe PETIT TESSON /AFP
La montée des séparatismes est un phénomène ambigu voire qui reste à prouver, et si l’arsenal juridique peut être amélioré, les pouvoirs publics possèdent déjà l’essentiel des instruments nécessaires.
Karima à Montmartre en 2010, avant le passage de la loi d'interdiction.
Agnès de Féo
Olivier Roy, European University Institute and Agnès De Féo, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Dix ans d’enquêtes auprès des « fantômes en noir » offrent au lecteur une plongée dans l’intimité insoupçonnée de femmes qui ont fait trembler la République. Préface à l’ouvrage d’Agnès De Féo.
Responsable du Département International Relations and Diplomacy, Schiller International University - Enseignante en relations internationales, Sciences Po