Anne Hidalgo, maire de Paris et candidate à l'élection présidentielle 2022 en meeting à Perpignan espère une candidature unique à gauche.
Lionel Bonaventure/AFP
Le nombre actuel des candidatures cataloguées comme de gauche résulte d’une incapacité de « petites et moyennes entreprises » politiques à s’adresser d’une seule voix intelligible aux citoyens.
Le 6 décembre 2021 Valerie Pécresse, candidate LR de la présidentielle 2022 et Eric Ciotti, à sa droite, se rendaient à Saint-Martin-Vesubie, commune dévastée par la tempête Alex il y a un an.
Christophe Simon/ AFP
La nomination de Valérie Pécresse est peut-être le début d’une nouvelle séquence de questionnement sur l’identité politique d’une droite fortement concurrencée.
Discours du candidat Zemmour à Villepinte le 5 décembre 2021.
Julien de Rosa/AFP
Le sur-emploi ou le sous-emploi d’un mot dans un texte ou discours permet de comprendre les intentions et idées véhiculées par les candidats.
Les candidats à la primaire du parti Les Républicains pour l'élection présidentielle de 2022 avant le débat télévisé du 14 novembre 2021.
Thomas Samson / AFP
Les adhérents du parti Les Républicains éliront bientôt leur favori pour l’élection de 2022. Lors des débats télévisés, les candidats ont exprimé leurs désaccords mais surtout leurs idées communes.
Façade du Zénith Métropole prise à Saint-Herblain, près de Nantes, le 30 octobre 2021, en amont de la venue du polémiste Zemmour en tournée promotionnelle pour la sortie de son dernier ouvrage.
Sébastien Salom-Gomis / AFP
La droite française, se disant elle-même « républicaine », a bien du mal à adopter une stratégie satisfaisante vis-à-vis du polémiste et présumé candidat Éric Zemmour.
Valérie Pécresse, candidate malheureuse de LR à la présidentielle 2022 quitte le pupitre après son discours de défaite le 10 avril 2022 à Paris.
Alain Jocard/ AFP
Quel est l’état de la diversité idéologique de la droite française à l’heure où celle-ci semble plus éclatée que jamais ?
Emmanuel Macron salue Nicolas Sarkozy en amont d'une cérémonie en hommage aux victimes du terrorisme, aux Invalides le 11 mars 2021.
Thibault Camus / POOL / AFP
Les réseaux d'influence sont clefs en politique: des techniques nées à la Renaissance et amplement maîtrisées par nos contemporains.
La question écologique est si présente dans le débat d'idées que l'extrême droite a dû elle aussi proposer sa vision. Ici, Marine Le Pen présente un amendement au projet de réforme constitutionnelle incluant le devoir de lutter contre le changement climatique, le 9 mars 2021.
Alain Jocard/AFP
Ce jeudi 10 octobre, Les Républicains organisent une « Nuit de l'écologie ». L'occasion de revenir sur les divergences profondes qui traversent la droite et le centre dans leur rapport à l’écologie.
Renaud Muselier (LR), candidat à la région PACA arrive à son quartier général à Marseille le 20 juin.
Clément Mahoudeau/AFP
Ces derniers mois ont représenté un défi de taille pour le parti LR, semblant de moins en moins à même de déterminer seul les plans de bataille de la famille de la droite française.
Vote à Saint-Remy-Sur-Avre, dans le nord-ouest de la France, le 20 juin. Deux électeurs sur trois ne se sont pas déplacés.
Guillaume Souvant/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
Beaucoup de Français ont le sentiment qu'il ne sert à rien de voter dans un type d’élection où les différences entre les tendances politiques sont difficiles à décrypter.
Dans le Grand Est comme ailleurs en France, les échéances nationales semblent parfois écraser les enjeux des régionales. Ici, c'est à Marine Le Pen, en visite à Lunéville, que l'on demande de signer le tract de la tête de liste RN Laurent Jacobelli.
Jean-Christophe Verhaegen/AFP
Dans le Grand Est, le scrutin régional et départemental est l’occasion de répéter les alliances pour la présidentielle, mais aussi de régler des questions locales, comme l’autonomisme alsacien.
Marine Le Pen (RN) à Saint-Chamond le 3 juin dans la région Auvergne Rhone Alpes, dans le cadre de la campagne pour les élections régionales.
PHILIPPE DESMAZES / AFP
Pour comprendre les raisons des dissensions de la droite française, il faut distinguer les départs que l’on pourrait qualifier d'« opportunistes » et ceux relevant d’une stratégie de plus long terme.
Le président du Sénat Gerard Larcher, la présidente de la région Pays de la Loire Christelle Morancais, le président du groupe LR au Sénat Bruno Retailleau, le président de la fédération LR des Hauts-de-Seine Philippe Juvin, le maire de La Baule Franck Louvrier et la maire du VII arrondissement de Paris Rachida Dati lors du sommet d'été du parti Les Républicains à La Baule, en août 2020.
Loic Venance/AFP
Pour réaliser l’union des droites, il faudrait réunir trois conditions : un programme, un leader, un contexte favorable. Or, pour l’instant, aucune de ces trois conditions n’est remplie.
Des personnes regardent les affiches officielles des candidats aux élections cantonales et municipales, le 06 mars 2008 à Strasbourg.
Olivier Morin/AFP
Le nom de parti est porteur d’enjeux symboliques sur la scène politique. Il doit être reconnu, retenu, manipulable dans les discours et surtout évocateur.
Les membres du mouvement gilet jaune participent au 15e samedi consécutif de manifestations à Rennes, dans l'ouest de la France, le 23 février 2019.
Loic Venance/AFP
L’émergence de nouveaux acteurs partisans mettant la critique des partis au cœur de leur programme alimente l’idée de « déclin des partis ».
Valéry Giscard d'Estaing en compagnie, de gauche à droite, du premier ministre britannique Harold Wilson, du président américain Gerald Ford et du chancelier ouest-allemand Helmut Schmidt, le 30 juillet 1975, au cours de la conférence au sommet sur la sécurité et la coopération à Helsinki.
AFP
Au-delà de son image de promoteur de la construction européenne, quel bilan peut-on tirer de la politique étrangère qu’a conduite Valéry Giscard d’Estaing durant son mandat présidentiel ?
Des personnes marchent devant un panneau portant une inscription «abstention» à Paris. Les municipales 2020 détiennent le taux record d'abstention.
Joël Saget/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs historiques The Conversation France
L'abstention record de ces municipales s'explique avant tout par la crainte de l'épidémie.
Le 24 juin à Perpignan, affiches électorales avant le second tour des élections municipales qui ont vu la victoire de Louis Alliot (RN).
RAYMOND ROIG / AFP