Deux membres du Conseil de sécurité des Nations unies – la Chine et la Russie – sont soupçonnés d’avoir perpétré de graves atrocités. Voici comment la communauté internationale doit agir.
Chloé Maurel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Le poids écrasant des cinq membres du Conseil de sécurité rend difficile de qualifier l’ONU d’organisation démocratique. Mais elle a adopté des textes dont il ne faut pas sous-estimer l’importance.
Raoul Delcorde, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
G7, G20, Asean, BRICS et tant d’autres : les sommets internationaux se suivent à une cadence de plus en plus rapprochée. Faut-il y voir de simples passages obligés ou ont-ils une vraie utilité ?
Des millions d’êtres humains ont cruellement faim et leurs droits fondamentaux sont bafoués. L’aide alimentaire est nettement insuffisante. Tous les ingrédients sont réunis pour une crise majeure.
Même s’il est peu probable que Poutine soit un jour jugé par un tribunal, le mandat d’arrêt de la CPI a une réelle valeur. Les actions symboliques peuvent avoir un effet profond sur les États.
Alors que les points de tension se multiplient entre Pékin et Washington, la transition vers un leadership chinois passera-t-elle forcément par un affrontement militaire avec les États-Unis ?
Chloé Maurel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
L’ONU a multiplié les initiatives depuis le début de la guerre en Ukraine. Mais tant que subsistera le droit de veto, la marge de manœuvre des Nations unies restera très étroite.
Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Lynda Hubert Ta, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Nessan Akemakou, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa, and Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La COP15 peut être considérée comme un succès avec l’adoption d’un cadre qui vise notamment à protéger au moins 30 % des zones terrestres, côtières et marines d’ici 2030.
Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.
Huit pays devraient être à l'origine de 50 % de la croissance démographique au cours des trois prochaines décennies. Cinq d'entre eux se trouvent en Afrique.
L'exploitation de données satellitaires montre qu'un projet sur deux d'électrification au travers un générateur de puissance modérée n'engendre pas les gains économiques attendus.
L’interconnexion, liée notamment à l’essor de l’Internet des objets, multiplie les risques et les fragilités dans le cyberespace, ce qui exige une réponse plus large qu’aujourd’hui.
À l’heure actuelle, le lien entre l’éducation de la petite enfance et la durabilité nécessite beaucoup plus de financement, de bourses académiques et d’actions.
La junte au pouvoir au Mali, qui a déjà obtenu la fin de l’opération française Barkhane et s’est largement rapprochée de Moscou, s’en prend désormais à la Minusma, mission de l’ONU dans le pays.
Chloé Maurel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
L’Unesco s’efforce de protéger le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité. Un objectif très difficile à atteindre dans un contexte tel que celui de la guerre en Ukraine…
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité
Phd, enseignant-chercheur, responsable de la filière « Gestion des organisations et des destinations touristiques », École supérieure de technologie d’Essaouira, Université Cadi Ayyad