Pour faire face aux tragédies, Beauvoir et Kierkegaard insistent tous deux sur l’équilibre, pour ne jamais oublier que le monde dans lequel nous vivons est déséquilibré et nous déséquilibre.
Derrière cette question vertigineuse, c'est l'énigme du vivant qu'interrogent les philosophes en puisant, pour y répondre, dans les mythes ou dans l'observation de la nature.
L'ouvrage ‘Les structures fondamentales des sociétés humaines’ propose de répondre aux questions fondamentales que peuvent se poser les êtres humains. Bonnes feuilles.
Les appels à restaurer l’autorité sont récurrents. Mais ne confondent-ils pas souvent « autorité » et « pouvoir » ? Quelques pistes pour repenser ces notions dans un monde hypermoderne.
L’essor des algorithmes est aujourd’hui favorisé par une fascination pour la technologie qui éclipse les enjeux d’impact sociaux et environnementaux des outils.
Scarlett Marton, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
À l’exception de ses premiers textes, les considérations de Nietzsche sur les femmes sont présentes un peu partout dans son œuvre. Et le philosophe s’opposait fermement à leur émancipation.
La sobriété alimentaire est souvent dissociée de la notion de plaisir. L’apprentissage de la modération peut pourtant être source de grande satisfaction.
L’Assemblée nationale a reconnu le Holodomor, la grande famine qui a décimé l’Ukraine au début des années 1930, comme un génocide. Retour sur cette notion et les débats qui l’entourent.
Traditionnellement, les philosophes ont séparé l’être humain de l’animal par notre capacité à inventer. Et pourtant ils inventent ! L’occasion de repenser notre vision de l’animalité.
Les reconversions de cadres vers des métiers manuels soulèvent des questionnements profonds sur le besoin de concret – sur lesquels la philosophie et la littérature esquissent des réponses.
L’humain garde le contrôle sur le développement d’algorithmes dépourvus d’esprit, dont seules les applications peuvent être jugées comme bienveillantes ou non.
La série « travail » s'attache à décrypter des aspects improbables, parfois inconnus ou impensés autour de cette notion actuellement au coeur des débats politiques.
Un lien idéologique fort s’est noué entre travail et appropriation des ressources, dont la notion de propriété. Pourtant, certains penseurs questionnent ce rapport entre revenu et travail.
Alors que la quête de sens occupe de plus en plus de place dans le travail, le philosophe Ghislain Deslandes invite dans son dernier ouvrage à se pencher sur la notion de désir dans les organisations.
Professeur à l’Université de Lorraine (Laboratoire d’Histoire des Sciences et de Philosophie Archives Henri-Poincaré), Membre de l’Institut Universitaire de France, Université de Lorraine
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)