La procédure de destitution déclenchée par les démocrates met la pression sur les républicains qui soutiennent Donald Trump. Le président américain traverse une réelle épreuve politique.
Le Président en campagne, en Virginie, le 2 novembre 2018,
Nicholas Kamm/AFP
Le président américain est accusé d’avoir fourni des « informations hautement classifiées » à l’ennemi de toujours, les Russes. Loin de démentir, Donald Trump assume.
James Comey, le désormais ex-patron du FBI, le 3 mai dernier lors d'une audition du Congrès.
Jim Watson/AFP
Les démocrates, qui évoquent le Watergate, n’accepteront jamais que l’agence chargée de l’enquête sur les liens entre le Président et la Russie soit dirigée par un conservateur ou un proche de Trump.
Dans une rue aux États-Unis, en 2014.
Carl Lender/Flickr
Avec le nouveau système, il vaudra mieux être jeune, en bonne santé et vivre dans un État tel que le Massachusetts plutôt qu'être plus âgé, avec quelques pépins de santé et vivre en Arizona.
Le président « élu », le 28 décembre 2016.
Don Emmert/AFP
Le Parti et le Congrès se sont rangés comme un seul homme derrière le président dès le 8 novembre. Tous savent que la réussite du mandat de Donald Trump conditionnera le maintien de leur siège.
Les hommes du Président: Mike Pompeo, Michael Flynn et Jeff Sessions (de gauche à droite).
STF/AFP
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’évitement des élites politiques et économiques traditionnelles ne semble pas à l’ordre du jour chez Donald Trump. Il aura fort à faire avec les divisions qui minent les républicains.
Bernie Sanders entouré de ses partisans, le 1er février, à Des Moines, dans l'Iowa.
Joshua Lott/AFP
Hormis le républicain Donald Trump et le rival démocrate d'Hillary Clinton, Bernie Sanders, les candidats n'ont guère suscité l’intérêt des jeunes. Une indifférence qui a des racines profondes.
Managing Director of the McCourtney Institute of Democracy, Associate Research Professor, Political Science, Co-host of Democracy Works Podcast, Penn State