Eva Illouz, Hebrew University of Jerusalem and Edgar Cabanas, Max Planck Institute for Human Development
« Le bonheur est-il cet objectif suprême que nous devrions tous nous efforcer d’atteindre ? » s’interrogent les chercheurs Éva Illouz et Edgar Cabanas dans leur ouvrage « Happycratie ».
Les Bleus pourraient être l’idéal de l’intégration à la française : or la fabrique ethnique de l’équipe nationale a été minutieusement décortiquée et jaugée à l’aune d’un racisme à peine dissimulé.
Ils ont un appartement, un travail et des responsabilités… et décident de s’installer au camping. Petite approche sociologique du camping comme lieu d’évasion professionnelle.
En fonction des époques et des moments, le prénom « Jean » est porté par 20 à 25 % de la population masculine au Moyen Âge, voire parfois jusqu'à 40 %. Soit 1 garçon sur 3 !
Laurent Lardeux, Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire
Tous des casseurs nos lycéens ? Pas forcément. Mais beaucoup expriment ainsi la frustration et la colère qu’ils ressentent face aux discriminations et aux injustices qu’ils vivent au quotidien.
Atelier de recherche des étudiant·e·s du MJMN, 4/5. Le chercheur Jacques Walter dresse les similitudes entre le travail du chercheur, du journaliste et de l’écrivain placés en position d’immersion.
Sensibilité grandissante à l’écologie, au développement durable, à la cause animale, aux valeurs féministes, à l’engagement sociétal : la « dé-consommation » a le vent en poupe.
Le refus d’être hébergé quand on est à la rue ne concerne pas toute forme d’hébergement, mais l’hébergement d’urgence qui bien souvent propose des conditions d’accueil inacceptables.
Audrey Marcillat, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Les représentations associées aux sans abri se focalisent surtout sur les homme, or de plus en plus de femmes en grande précarité doivent désormais négocier leur présence dans la rue.
L’œuvre de Georges Balandier est indissociable de l’anthropologie moderne. Ses travaux sur le changement au sein des sociétés humaines sont désormais incontournables pour mieux comprendre notre monde.
L’expression « zéro SDF », récurrente, entendue comme un dessein de politique publique, d’abord critiquée ou moquée, s’est progressivement imposée dans le débat public.
Pour le sociologue Bernard Lahire, la création d’une théorie des rêves, ces objets étranges, permet aussi et surtout de contribuer à la transformation des sciences sociales.
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)