Héritière de l’Université de Bretagne créée au XVe siècle, l'Université de Rennes avec ses cinq grandes écoles composantes (EHESP, ENSCR, ENS Rennes, INSA Rennes, Sciences Po Rennes) considère la recherche et sa valorisation comme une priorité, comme une marque distinctive qui fait sa renommée à l’international et auprès des entreprises. Cet établissement public expérimental soutient l’émergence de projets innovants, en mettant à disposition des infrastructures d’appui agiles et performantes, tout en encourageant la recherche transdisciplinaire et partenariale. L’Université de Rennes est le premier déposant de brevets en Bretagne.
Université de recherche intensive, l'établissement dessine des axes d’excellence, mondialement reconnus, qui la placent parmi les quelques universités françaises citées dans les classements internationaux. À l’œuvre dans cinq secteurs (biologie-santé, environnement, matériaux, mathématiques-numérique, sciences de l'Homme, des organisations et de la société), associés aux organismes nationaux de recherche (CNRS, Inserm, Inria, INRAE), les scientifiques des 34 laboratoires sous co-tutelle de l’Université de Rennes sont au cœur des grands enjeux de la société de demain. À l’avant-garde des savoirs, l’établissement est un acteur de premier plan pour la formation de ses 37 000 étudiant.e.s, qu’elle soit initiale ou tout au long de la vie. Ce rôle lui confère une responsabilité considérable vis-à-vis de la société et fait de lui un moteur essentiel du développement socio-économique et culturel du territoire.
En France comme à l’international, l'Université de Rennes mobilise ses expertises pour relever les grands défis sociétaux d’un monde en transition, en particulier dans les domaines de l’environnement, de la santé globale et du numérique. L’Université de Rennes s’engage ainsi à jouer un rôle pilote dans la transition écologique et environnementale : elle entend contribuer activement à la préservation et à la restauration de la planète par la mise en œuvre des objectifs du développement durable des Nations unies.
Alors que notre pays fait face à la montée d’une troisième vague de Covid-19, la fermeture des écoles permettra-t-elle de freiner le SARS-CoV-2 ? Quel rôle jouent-elles dans l’épidémie ?
Les conséquences délétères du harcèlement sont largement établies, à court, moyen et long termes : perte d’estime de soi, dépression, tentatives de suicide et suicides, conduites à risque…
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Emmanuelle Godeau, École des hautes études en santé publique (EHESP)
C’est à partir de 2010 que le harcèlement scolaire a vraiment été reconnu en France. Depuis, si des actions de prévention commencent à porter leurs fruits, certains jeunes restent très exposés.
L'université de Californie du Sud, à Los Angeles.
Bobak Ha'Eri/Wikipedia
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Depuis quelques années, certains mouvements cherchent à encadrer la liberté d’expression dans le cadre universitaire, au nom de la protection des minorités.
En novembre 2020, séance autour des gestes barrières animée par un médecin dans une école parisienne.
Anne-Christine Poujoulat/AFP
Emmanuelle Godeau, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Alors que les enjeux de santé tiennent plus de place que jamais en milieu scolaire, chaque élève ne disposerait que d’un peu moins de huit minutes de temps de médecin scolaire par année de scolarité.
Campagne présidentielle américaine, le 1er novembre 2020, jeunes supporters assistant à un meeting de Trump en Caroline du Nord.
Brendan Smialowski / AFP
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
La pandémie a donné un coup de frein à la mobilité étudiante dans le monde. Les universités américaines en sont bien sûr affectées. Mais elles font face aussi à une baisse des inscriptions nationales.
Un membre de l’équipe médicale de l'hôpital Emile Muller de Mulhouse reçoit une injection du vaccin Pfizer-BioNTech contre la Covid-19, le 8 janvier 2021.
Sébastien Bozon / AFP
Selon les experts du séminaire Maladies Infectieuses Émergentes, pour que la vaccination joue pleinement son rôle de pilier de la lutte anti-Covid-19 son déploiement doit suivre certains principes.
Judith Mueller, École des hautes études en santé publique (EHESP) and Iris Deroeux, The Conversation France
Cet épisode est dédié aux politiques vaccinales afin de comprendre quels ingrédients les composent, quels acteurs les façonnent, et les défis spécifiques que pose la Covid-19.
Le Royaume-Uni parie sur sa capacité à maintenir son excellence et son influence mondiale par ses propres moyens.
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Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Partir hors Erasmus a un coût que ne pourront pas se permettre tous les étudiants européens. Mais le retrait britannique ne pourrait-il pas nuire aussi à l’influence des universités britanniques ?
Un jeune homme est contrôlé dans un centre de rétention administratif près de Nantes dans le cadre de la crise sanitaire et des dépistages à la Covid-19, mai 2020.
Sebastien SALOM-GOMIS / AFP
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP) and Patricia Loncle, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Du fait de sa jeunesse, la population migrante en Europe est globalement en bonne santé physique. En revanche, sa santé mentale pose souvent problème.
Des manifestants brandissent une banderole sur laquelle on peut lire “Masque + vaccins + nanoparticules + 5G =” durant un défilé initié par le mouvement des « Gilets jaunes », à Bordeaux, le 12 septembre 2020.
Philippe Lopez / AFP
Jocelyn Raude, École des hautes études en santé publique (EHESP)
En France, pays historiquement pro-vaccins, la montée en puissance de l’hésitation vaccinale est récente. Elle résulte principalement de la conjonction de trois phénomènes.
Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP) and Iris Deroeux, The Conversation France
Cet épisode est dédié à la notion de parentalité qui désigne les pratiques parentales, devenues un champ d’études tant pour la psychiatrie, l’anthropologie que la sociologie.
Comme ces élèves d’une école primaire de Bischwiller, en Alsace, les enfants de plus de 6 ans devront désormais porter le masque durant leur journée scolaire.
Patrick Hertzog / AFP
La France vit un second confinement pour tenter de juguler l’épidémie de Covid-19. Différence majeure par rapport à celui de mars : écoles, collèges et lycées restent ouverts. Analyse de la situation.
Si les mesures de distanciation et les gestes barrières sont massivement appliqués, on peut espérer infléchir la trajectoire de l’épidémie (photo prise sur un quai de tramway à Bordeaux, le 20 juillet 2020).
Philippe Lopez / AFP
Pascal Crépey, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les nouveaux cas de Covid-19 quotidiens ont explosé ces derniers jours. Après une reprise de l’épidémie pas si surprenante que cela, comment éviter la saturation annoncée du système de santé ?
Le choix d'amis ne dépend pas uniquement des activités partagées par les enfants, mais aussi des jugements exprimés par les adultes.
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Kevin Diter, École des hautes études en santé publique (EHESP)
À l’instar des adultes, les enfants sont loin d’avoir des pratiques démocratiques quand il s’agit d’amitié et sont très sensibles aux jugements de leur entourage. Explications.
Les habitants de Bordeaux vont eux aussi devoir respecter le couvre-feu destiné à limiter la circulation du coronavirus.
Philippe Lopez / AFP
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si la Chine entend proposer un modèle de modernisation alternatif à celui du monde occidental, une partie de sa bureaucratie se forme dans des masters d’inspiration américaine. Explications.
Près de la Hong Kong Polytechnic University, en juin 2020.
Isaac Lawrence/AFP
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Si Hongkong avait réussi à constituer un pôle d’excellence ces dernières décennies, la situation politique pousse de plus en plus d’étudiants à souhaiter partir vers d’autres horizons.
D'une certaine manière, les ouvrages sur l'éducation et la parentalité s'inscrivent dans la vogue du développement personnel.
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Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Dans les rayons des librairies, les livres de conseils destinés aux parents se multiplient. Qu'en penser ? Une certaine pression sociale ne s'aiguise-t-elle pas derrière ces bonnes intentions ?
Sur les bords du canal Saint-Martin, à Paris, le 15 mars. Le biais d’ancrage a empêché certaines personnes d’adopter les bons comportements, malgré les communications officielles.
Thomas Samson / AFP
Le biais d’ancrage est un travers psychologique qui peut faire chavirer la perception du risque et les mesures de prévention de la COVID-19.
« Il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour », disait le poète Pierre Reverdy. Une chose est certaine : le dialogue social doit se nourrir d'éléments tangibles (manifestation le 25 mai à Paris).
Ludovic Marin/AFP
Hubert Jaspard, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Le Ségur vise à rendre notre système de santé plus efficient pour les patients, les soignants, les décideurs… Une tâche compliquée, tant il faut concilier des objectifs divergents.
Médecin Généraliste, Maître de Conférences des Universités Directeur du Département de Médecine Générale - Université de Rennes, Université de Rennes 1 - Université de Rennes