Héritière de l’Université de Bretagne créée au XVe siècle, l'Université de Rennes avec ses cinq grandes écoles composantes (EHESP, ENSCR, ENS Rennes, INSA Rennes, Sciences Po Rennes) considère la recherche et sa valorisation comme une priorité, comme une marque distinctive qui fait sa renommée à l’international et auprès des entreprises. Cet établissement public expérimental soutient l’émergence de projets innovants, en mettant à disposition des infrastructures d’appui agiles et performantes, tout en encourageant la recherche transdisciplinaire et partenariale. L’Université de Rennes est le premier déposant de brevets en Bretagne.
Université de recherche intensive, l'établissement dessine des axes d’excellence, mondialement reconnus, qui la placent parmi les quelques universités françaises citées dans les classements internationaux. À l’œuvre dans cinq secteurs (biologie-santé, environnement, matériaux, mathématiques-numérique, sciences de l'Homme, des organisations et de la société), associés aux organismes nationaux de recherche (CNRS, Inserm, Inria, INRAE), les scientifiques des 34 laboratoires sous co-tutelle de l’Université de Rennes sont au cœur des grands enjeux de la société de demain. À l’avant-garde des savoirs, l’établissement est un acteur de premier plan pour la formation de ses 37 000 étudiant.e.s, qu’elle soit initiale ou tout au long de la vie. Ce rôle lui confère une responsabilité considérable vis-à-vis de la société et fait de lui un moteur essentiel du développement socio-économique et culturel du territoire.
En France comme à l’international, l'Université de Rennes mobilise ses expertises pour relever les grands défis sociétaux d’un monde en transition, en particulier dans les domaines de l’environnement, de la santé globale et du numérique. L’Université de Rennes s’engage ainsi à jouer un rôle pilote dans la transition écologique et environnementale : elle entend contribuer activement à la préservation et à la restauration de la planète par la mise en œuvre des objectifs du développement durable des Nations unies.
Les jeunes Français trouvent qu'il n'est pas facile pour eux de parler des choses qui les préoccupent vraiment avec leurs parents, selon une enquête internationale.
Shutterstock
Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les jeunes trouvent qu’il est difficile de parler des sujets qui les préoccupent avec leurs parents. La scolarité prendrait-elle trop d'importance, et plus encore à l'approche du brevet et du bac ?
Dans un bloc opératoire, à l'hôpital pour enfants de la reine Fabiola, à Bruxelles.
Piron Guillaume/Unsplash
Jean-Marie Januel, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Une proportion importante des complications pourrait être évitée, lors des soins à l’hôpital. Le point sur les pistes d’amélioration, à l’occasion du sommet mondial sur la sécurité des patients.
You know you shouldn’t smoke, or have sex without a condom if you’re not with a longtime partner. And when it comes to drinking, tea only, of course.
Dominik Martin/Unsplash
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Quit smoking, quit drinking – so many good resolutions for the New Year. But can the overabundance of messages on healthy living become counter-productive?
Des membres de la Répression des fraudes (DGCCRF) inspectent le rayon des laits pour bébé dans un supermarché d'Orléans, le 11 janvier. Des boîtes potentiellement contaminées étaient restées en magasin.
GUILLAUME SOUVANT / AFP
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Lait pour bébé contaminé, Levothyrox, oeufs au Fipronil : les affaires menaçant notre santé se succèdent. Il existe pourtant des moyens de mieux anticiper ces problèmes, et de limiter leur ampleur.
Une clinique mobile de Médecins sans frontières à la porte de la Chapelle, à Paris, le 11 janvier 2017.
Armelle Loiseau/MSF
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP) and Fabienne Azzedine, École des hautes études en santé publique (EHESP)
A l'occasion de la journée internationale des migrants, la question de leur santé mérite d'être examinée sur la base des données scientifiques. Tout comme le coût des soins.
Qu'est-ce qui pourrait bien nous inciter à choisir l'escalier, plutôt que l'escalator ?
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En modifiant des détails de notre environnement quotidien, les responsables de la santé publique nous incitent à faire de l’exercice ou à manger mieux, à notre insu.
Les poussières analysées à l'intérieur des habitations proches des zones agricoles sont contaminées en pesticides à des niveaux plus élevés que les autres.
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Plusieurs études, notamment chez les enfants, montrent que les personnes vivant à proximité des champs sont davantage imprégnées par les pesticides. Cette situation induit des risques pour la santé.
The French “carte vitale” guarantees citizens and residents access to care, even in case of severe illness.
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Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Les Français disposent d’un système de soins et d’assurance-maladie plutôt performant. Il reste toutefois trop inégalitaire et ne met pas assez l’accent sur la prévention des maladies.
Les patients pourraient bénéficier de soins davantage adaptés à leurs besoins et à leurs particularités, y compris à l'hôpital.
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Etienne Minvielle, École des hautes études en santé publique (EHESP) and Mathias Waelli, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Dans une époque où on peut commander des jeans adaptés à sa morphologie, il est temps de personnaliser davantage les soins. Ce serait bénéfique pour les patients, mais aussi pour le système de santé.
Le chef d'état-major des armées, le général Pierre de Villiers, aux côtés du Président, le 14 juillet sur les Champs-Élysées.
Christophe Archambault/AFP
Kevin Alleno, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Alors que le ministère de la Défense remportait tous ses arbitrages depuis quelques années, il semble aujourd’hui sans défense face à un Président qui se veut jupitérien. Comment en est-on arrivé là ?
Avner Bar-Hen, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) and Patrick Zylberman, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Retour sur la consultation citoyenne sur les vaccins alors que onze vaccins pédiatriques devraient être rendus obligatoires en France pour une période transitoire.
A Monrovia, au Liberia, le 5 avril 2017. Un volontaire reçoit un vaccin contre Ebola à l'hôpital, dans le cadre de l'essai clinique Prevac.
NIAID/Flickr
Un vaccin contre Ebola est maintenant disponible, à titre expérimental. Mais il ne permettra pas d’endiguer une nouvelle épidémie sans un système de santé opérationnel dans les pays touchés.
Salt Lake City, dans l'État américain de l'Utah, est le moteur de la High Value Healthcare collaborative.
Garrett / FlickR
Pour réinventer le système de santé français, à bout de souffle, il faut prendre exemple sur des pays qui font mieux pour moins cher. C’est le cas de l’Utah, un État de l’Ouest des États-Unis.
Une femme utilisant une appli santé sur son mobile.
La relation entre le patient et le médecin a gagné en équilibre grâce à Internet. Mais demain, les patients ne vont pas forcément tous tirer profit de l’avènement du numérique.
Il ne faudrait ni fumer, ni boire d’alcool, ni faire l’amour sans préservatif si on ne connaît pas son ou sa partenaire depuis longtemps.
Dominik Martin/Unsplash
Laurent Chambaud, École des hautes études en santé publique (EHESP)
J'arrête de fumer, j'arrête de boire : autant de bonnes résolutions pour la nouvelle année. Mais trop d'injonctions à mener une vie saine ne devient-il pas contre-productif ?
La grossesse, expérience sensorielle pour la mère et l'enfant.
http://www.flickr.com/photos/newlifehotels/3508874204/
Alban Lemasson, Université de Rennes 1 - Université de Rennes and Martine Hausberger, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Capable de percevoir les sons mais aussi le ressenti de sa mère, le fœtus les associe et les garde en mémoire. Un apprentissage qui aura, à la naissance, un impact sur ses réactions.
Avner Bar-Hen, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) and Arthur Charpentier, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Nous aimons croire que la statistique nous indiquera quelle est la probabilité que tel ou telle candidat remporte l’élection présidentielle. C’est illusoire. Démonstration.
L’accumulation de poussière fait partie des principales sources de pollution.
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À la maison, nous sommes exposés aux polluants intérieurs. Redoublons de vigilance !
Leader of the Front National, Marine le Pen, the morning after her party’s strong showing in the first round of regional elections.
Pascal Rossignol/Reuters
France’s extreme-right party has national ambitions, but its lead in the first round of local elections puts it in direct contradiction with its long-proclaimed ideology.
Médecin Généraliste, Maître de Conférences des Universités Directeur du Département de Médecine Générale - Université de Rennes, Université de Rennes 1 - Université de Rennes