Les génomes modernes et anciens du « Treponema pallidum », ont permis de situer cette bactérie, dont la lignée est responsable de la syphilis, dans l’Amérique précolombienne.
Lluís Montoliu, Centro Nacional de Biotecnología (CNB - CSIC)
L’auteur retrace les étapes des techniques de clonage chez les mammifères et rappelle qu’elles restent inefficaces et inutilement applicables à l’homme.
99 % de notre ADN ne sert pas directement à produire des protéines, pourtant il est très utile pour réguler cette production. Mieux connaître cette partie du génome est un défi majeur.
Des bactéries résistantes à des quantités phénoménales de radiation poussent à repenser notre compréhension des mécanismes qui sous-tendent le vieillissement.
L’analyse génétique de deux fragments de crânes datant de près de 40 000 ans démontre que notre espèce a colonisé l’Europe depuis l’est et s’est métissée avec nos cousins néandertaliens.
Fanny Fronton, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Non, le sang n’est pas stérile. Et analyser les bactéries qui s’y trouvent pourrait permettre d’évaluer la santé des poissons et d’éviter l’effondrement de leurs populations.
Des analyses ADN ont permis de reconstituer un arbre généalogique de sept générations ayant vécu il y a 7 000 ans et de comprendre l’organisation de cette petite société.
L’ADN circulant dans le sang peut être recueilli par simple prise de sang. Mieux, son analyse permet d’établir rapidement le diagnostic de plusieurs cancers et de suivre l’évolution de la maladie.
En cuisine, le clitocybe inversé, un champignon comestible de nos forêts, est médiocre. Mais son intérêt est ailleurs : capable d’agir sur l’ADN, il pourrait un jour soigner des maladies génétiques.
Chez l’humain, la longueur des télomères, structures à l’extrémité de l’ADN diminue avec le temps, causant un vieillissement, alors que chez le protée, elle augmente. La clé de sa longévité ?
Les chercheurs canadiens ont été à l’avant-plan de la recherche sur l’ADN. Cependant, le manque de financement menace leur capacité à relever les défis de l’avenir.
Une nouvelle étude met en lumière les bénéfices cognitifs de l’activité physique alors qu’une autre semble dire le contraire, alimentant le débat scientifique sur la question. Voici ce qu’il en est.