Jusqu’au mois de mars 2022, nous vous proposons de suivre le périple des membres de la Dynamique pour une transition agroécologique au Sénégal sous la forme d’un journal de bord.
À l’occasion du One Ocean Summit, qui se tient cette semaine à Brest du 9 au 11 février 2022, tour d’horizon des pistes de recherche prometteuses pour protéger le plus grand écosystème de notre planète.
Les JO de Pékin font la démonstration, une fois de plus, que les grands événements sportifs ont un impact négatif majeur sur l’environnement. Avec le réchauffement climatique, ont-ils un avenir ?
Une étude publiée en décembre 2021 met en lumière une alternative efficace et peu coûteuse au reboisement massif : laisser les forêts tropicales repousser naturellement.
De nouveaux travaux de recherche éclairent sur la meilleure façon de mobiliser l’investissement public privilégier pour servir au mieux les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique.
Chercheuse en sciences du climat et coprésidente du groupe de travail I du GIEC, Valérie Masson-Delmotte partage ses impressions à la suite de son visionnage du film-événement d’Adam McKay.
La conférence de Glasgow de novembre 2021 nous a donné à voir comment s’articulent les discours politiques, médiatiques et scientifiques autour de la question du changement climatique.
Les zones en altitude se réchauffent plus rapidement que les plaines, et les Pyrénées n'échappent pas à cette règle. Avec pour conséquence une déstabilisation des écosystèmes.
Le transport de marchandises contribue à hauteur de 7 % aux émissions mondiales de CO₂, mais la réduction de cette part entraînerait d’autres effets sur l’environnement.
À l’état larvaire, les poissons sont extrêmement vulnérables aux changements de leur milieu, il est donc crucial de savoir comment les larves vont réagir face au dérèglement climatique.
Dans sa nouvelle étude,« Transition(s) 2050 », l’Ademe dévoile quatre scénarios pour lutter contre le changement climatique. La sobriété, à différents degrés, y tient une place de choix.
Les avancées et les limites de la récente COP26 soulignent la nécessité de faire évoluer les conférences internationales sur le climat. Pas de les supprimer.
En 1974, la penseuse et militante française publie « Le Féminisme ou la mort », où apparaît pour la première fois le concept d’écoféminisme. Retour sur un parcours littéraire et politique singulier.
La COP26 a été l’occasion d’avancées et d’annonces, mais les engagements des États – en plus de devoir passer l’épreuve de leur mise en œuvre – sont largement en deçà de ce qu’exige la science.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)