Fasciné par les écrans, notre esprit est au cœur d’un enjeu dont dépend notre avenir. Avec cet extrait du dernier essai de G. Bronner, explorons l’un des modes de fonctionnellement de l’attention.
Quand nous sommes privés des rencontres et des moments d’observation qui titillent notre curiosité, de nouvelles idées, petites ou grandes, restent dans les limbes.
Les outils numériques se multiplient, le flux d’informations qui nous parvient ne cesse de croître. Comment mieux se concentrer ? Quelques bonnes feuilles sur les mécanismes de l’attention.
Si le rôle essentiel du cerveau ne fait aucun doute, la plupart des gens en savent bien peu à son sujet. Saviez-vous, par exemple, qu'environ 20 % du volume sanguin de notre corps y est consacré?
S’il infecte surtout les voies respiratoires supérieures, le SARS-CoV-2 attaque aussi d’autres organes. Le cerveau en ferait partie, ce qui pourrait expliquer certains troubles cognitifs.
Une connaissance du trouble longtemps focalisée sur les enfants et un a priori négatif sur les médicaments expliquent en partie le sous-diagnostic du TDAH de l’adulte. Il est grand temps d’y remédier.
Comment mesurer l’intelligence d’un animal ? En les comparant avec nos capacités cognitives, on sera en haut de la hiérarchie. Mais qu’en est-il de leurs performances dans d’autres domaines ?
Associer ses proches à ses décisions ou encore repenser la signification du « retour à la normale » permet de se protéger des biais cognitifs et de leurs conséquences funestes.
Comment arrivons-nous à créer des images mentales ?
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Une étude à partir du cas d’un architecte ayant perdu la capacité à se représenter des images mentales nous éclaire sur la zone du cerveau impliquée dans ce processus.
Compte tenu de la prévalence élevée de la dépression, on peut imaginer que des caractéristiques la facilitant aient été retenues par la sélection naturelle, eu égard aux avantages qu’ils procuraient.
Nous vous proposons un extrait de l’ouvrage « Penser droit » de Paolo Bartolomeo, mettant en avant les dernières découvertes dans le domaine des neurosciences.
Au-delà des peurs qu’il suscite, l’oubli est une force sans laquelle il nous est impossible de vivre dans le présent. Digérer le passé est essentiel à l’équilibre psychique.
Loin de la variable linéaire et continue du physicien, le temps qu’utilise notre cerveau pour anticiper des actions s’inscrit à la fois dans le présent, le passé et le futur.
Le black-out est une forme spécifique d’amnésie qui résulte du dysfonctionnement de certaines régions cérébrales induit par une consommation excessive ou trop rapide d’alcool.
Il n’y a pas une, mais des mémoires. Et si certaines sont très affectées par le vieillissement, d’autres peuvent au contraire constituer des outils pour lutter contre des pathologies comme Alzheimer.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)