Au-delà de son omniprésence et de son ambivalence en entreprise, l’ennui revêt un caractère embarrassant. Dès lors, comment parvenir à mettre des mots sur cet état affectif ?
Quand un célèbre chef cuisinier s’empare quelques instants de la Coupe du monde sur le terrain de foot, c’est la notion de sacré qui fait irruption dans le réel.
Un ouvrage recense les principaux processus de transformations qui produisent des résultats hétérogènes, d’une réponse satisfaisante aux aspirations des équipes à la confusion dans l’organisation.
Les organisations qui cherchent à autonomiser leurs équipes restent contraintes d’orienter les comportements dans le sens de l’accomplissement des objectifs fixés.
Médiation, groupe de parole… Des démarches visant à (ré)apprendre à communiquer avec autrui se déploient pour tenter de mieux répondre aux nouvelles attentes vis-à-vis du travail.
La « théorie des paradoxes » se fonde sur l’idée que les individus et organisations font face à des injonctions contradictoires indissociables. Emmanuel Macron l’incarne tout particulièrement.
Contrairement au premier procès, les ex-dirigeants en poste au moment de la vague de suicides dans les années 2000 ont montré leurs émotions devant la cour d’appel.
Vincent Dain, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Au sein du mouvement La France Insoumise, plusieurs débats concernant la structuration organisationnelle du parti et sa capacité à dépasser sa forme actuelle. Vers quoi ?
Un livre collectif publié le 8 septembre aux éditions EMS dresse un état des lieux de la recherche sur la place et les manières de considérer la religion dans la sphère professionnelle.
Selon un panel de responsables des ressources humaines, les compétences en gestion de l’incertitude devraient notamment monter en puissance tandis que les organisations deviendront plus flexibles.
Un travail de recherche portant sur les Compagnons du devoir montre notamment des attentes différentes chez les jeunes décrocheurs dans les zones rurales et urbaines.
En renversant la perspective sur les organisations qui cherchent à autonomiser les équipes se dessine les contours de principes clés dans une adoption réussie de ce modèle.
Une analyse comparée des opérations sous hypnose et assistées par robot montre que ces nouvelles pratiques, loin d’isoler les praticiens, nécessitent de renforcer le collectif.
Et si la « corporate mindfulness » n’était qu’un outil au service de la performance économique ? Cette question fait écho aux premiers débats autour de la responsabilité sociale des entreprises.
Un article de recherche récent souligne l’importance d’un contexte organisationnel qui encourage les transgressions dans la finance, rendant les dispositifs de contrôle actuels inopérants.
Les dysfonctionnements pourraient être corrigés par une meilleure prise en compte des informations remontées par les patients et leurs familles, comme le suggère la recherche.
La version française du « convoi de la liberté » semble tout autant s’inspirer de son homologue canadien que s’inscrire dans la lignée stratégique et organisationnelle du mouvement des « gilets jaunes ».
Une trop faible implication des équipes en charge de déployer les politiques de durabilité risque de faire naître un scepticisme quant aux intentions réelles de leurs employeurs.
Les formes de gouvernance qui affichent des missions au-delà de l’objectif de maximisation du profit ou celles qui instaurent une « cour suprême » manquent encore de maturité.
Ces actions ne concernent pas que des groupes de pression, mais aussi un grand nombre de sociétés commerciales et d’organisations professionnelles qui alimentent le décideur public en informations.