Chloé Maurel, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Le prix Nobel de la Paix 2020 a été attribué au Programme alimentaire mondial. Retour sur près de 60 ans de lutte contre la faim par la plus grande agence d’aide alimentaire mondiale.
Dans leur quête de reconnaissance, les afro-descendants belges doivent interroger les liens entre la violence de la colonisation belge du Congo et les violences extractivistes contemporaines.
La Covid-19 a mis en évidence la nécessité de développer une industrie solidement structurée et soutenue de la recherche scientifique et de l’innovation dans le domaine de la santé.
La place occupée par les statues de Léopold II à l’Africa Museum de Tervuren reflète les contestations croissantes de la mise en scène de l’histoire coloniale.
La République démocratique du Congo a obtenu son indépendance il y a exactement soixante ans. Il est temps de cesser de percevoir son histoire uniquement sous un prisme colonial.
La présence du coronavirus dans la région des Grands Lacs africains ravive des tensions existantes et nuit aux échanges commerciaux, à la démocratie et aux droits de la personne.
Une guerre civile localisée, qui démarre souvent en raison d’injustices et de corruption, s’internationalise lorsque chaque partie est soutenue à différents degrés par des États étrangers.
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Dans les égouts, les tunnels, les silos, les citernes, les puits ou encore les mines, les travailleurs qui vivent le confinement au quotidien sont encore nombreux à travers le monde.
En Afrique centrale comme ailleurs, le confinement a imposé le recours au télétravail. Or les PME de ces pays et leurs employés rencontrent de nombreuses difficultés en la matière>.
La pandémie de Covid-19 suscite des réactions diverses en Afrique. Certains pays ont adopté des mesures strictes de surveillance tandis que d'autres croient encore que la prière les sauvera.
La lutte armée en RDC, qui implique une centaine de groupes, est utilisée par le pouvoir et les trafiquants pour semer le chaos, dans le but de rendre le pays ingouvernable.
Dans de nombreux États considérés comme « faillis », les donateurs internationaux se sont livrés à des tentatives de « state building » aussi coûteuses qu’inutiles.
La politique répressive prônée par la direction du parc en direction de la population locale menace sur le long terme l’efficacité de la préservation de cet écosystème fragile.
Les faits sont incontestables : l'épidémie actuelle d'Ebola est en expansion et ne donne aucun répit. La méfiance envers l’autorité, la guerre civile et le virus constituent un cocktail explosif.
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité
Pascal Kengué Mayamou est Assistant en management des organisations et en management des systèmes d'information à l'Institut Supérieur de Gestion de l'Université Marien NGOUABI à Brazzaville en République du Congo depuis 2016, Université Marien Ngouabi
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay