La proportion de personnes déclarant rencontrer au moins plusieurs fois par an des faits religieux au travail est en augmentation par rapport aux années précédentes.
Vladimir Melnik / Shutterstock
Le dernier rapport de l’Institut Montaigne réalisé avec l’OFRE souligne que, si les cas sont en majorité mieux gérés par les entreprises, certaines demandes se muent aujourd’hui en revendications.
Les évolutions règlementaires obligent les entreprises à adopter différentes postures face à un principe qui, en théorie, ne devrait pas les concerner.
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En théorie, les sociétés du secteur privé ne devraient pas être concernées par le fait religieux. Elles font pourtant face à une multiplication des questionnements sur le sujet.
Le président de la République, René Coty, accueille le 23 décembre 1958 le président du Conseil, Charles de Gaulle, marquant le début de la Vᵉ république.
AFP
Notre époque subit directement les répliques de ce qui apparaît avec le recul comme les prémices d’un déclin crépusculaire du régime de la Vᵉ République.
A Marseille, lors des Européennes du 26 mai 2019.
Sylvain Thomas/ AFP
Le tirage au sort est-il une alternative crédible pour rétablir la confiance entre citoyens et élus ? Quels en sont les enjeux, les modalités, les conditions ?
Remodeler les règles de fonctionnement de la Vᵉ République, quoi de plus tentant pour un président qui voulait redonner sa stature au nouveau locataire de l’Élysée ?
A Roissy, dans le nord de Paris (ici en 2018). Le recours au RIP vise la privatisation d'Aéroports de Paris.
Eric Piermont / AFP
Il s’agit de contester l’action de la majorité parlementaire, la minorité utilisant le détour référendaire pour faire prévaloir un point de vue qu’elle n’a pu imposer dans la procédure normale.
Vue de l'hémicycle, le 29 janvier 2019.
Philippe Lopez / AFP
À l’heure où notre société tend à se fracturer, où la haine se développe, et où « tout l’édifice » pourrait crouler, la laïcité n’est-elle pas, plus que jamais, d’actualité ?
Théroigne en « amazone écarlate de l'Histoire, par Auguste Raffet.
Wikimedia
Cette femme si souvent décriée en son temps voulait étendre les droits des femmes, avant qu'un épisode tragique ne la brise.
À Boulogne, durant le conseil municipal du 29 novembre 2018, le portrait officiel du président de la République a été « habillé » d’un gilet jaune.
Facebook/Jean-Claude Étienne/LaVoixduNord
Yvan Boude, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Affubler le portrait présidentiel officiel d'un gilet jaune, est-ce un canular ou une atteinte aux symboles de la République ? Retour historique sur cette image présente dans toutes les mairies.
La députée Stella Dupont (La République en marche) à l'Assemblée, le 18 décembre 2018.
Lionel Bonaventure/ AFP
Priver les parlementaires d’une rémunération décente ou des moyens de travailler efficacement à l’Assemblée et en circonscription n’est pas le meilleur moyen de rénover la démocratie française.
Près de Marseille, le 9 décembre 2018.
Sylvain Thomas/AFP
Une minorité, même très mobilisée, même bénéficiant d’un soutien de l’opinion publique, ne peut pas se substituer à la majorité et effacer les résultats des élections.
La dimension mémorielle reste aujourd’hui forte, elle a même édulcoré les caractères historiques propres de la loi de Séparation.
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De la Charte de la laïcité aux manuels d’histoire, comment la mémoire de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’État se transmet-elle à l’école ?
Aux abords des Champs-Élysées, le 1er décembre 2018.
Geoffroy Van Der Hasselt/ AFP
Plus qu’un retour de boomerang de la démocratie directe, le mouvement des gilets jaunes révèle la transformation en cours de la représentativité des parties prenantes de la société civile.
Emmanuel Macron lors du dîner du CFCM l'an dernier.
Benajmin Cremel / AFP
Les avocats d’un islam de France institutionnalisé espèrent faire triompher un « islam des lumières » sans que celui-ci apparaisse aujourd’hui évident ou majoritaire.
Emmanuel Macron le 29 septembre sur l'île de Saint-Martin.
Thomas Samson/AFP
Seize mois après la stupéfiante élection de 2017, le macronisme est-il malade de Macron lui-même qui ne serait pas à la hauteur des espérances qu’il a suscitées ?
A Paris, lors de la manifestation après l'attentat contre Charlie Hebdo.
Maya-Anaïs Yataghène/Flickr
« L’affaire Zemmour » laisse pantois, mais elle pose deux questions brûlantes : qu’est-ce qu’être français ? Et comment un Français peut-il honorer son pays ?
Rentrée des classes à Laval, le 3 septembre 2018.
Ludovic Marin/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Le principal chantier à venir, pour Emmanuel Macron, n’est plus celui de la modernisation du pays et des réformes mais sa capacité à proposer une vision pour l’avenir.
Professeur de théologie à la la Faculté Notre-Dame, co-directrice du séminaire de recherche Ecole et république du Collège des Bernardins, Collège des Bernardins
Professeur en sciences de l'éducation, Institut Catholique de Paris, Co-directeur du séminaire de recherche Ecole et république, Collège des Bernardins
enseignant en relations internationales (Sciences Po) - responsable de l'unité d'enseignement "aire juridique et administrative'" (Master Lisi, UFR EILA, Université Paris VII Denis DIderot), Sciences Po
Sociologue, professeur à l'UC Louvain, membre associé à l'URMIS, affilié à l’Institut Convergences Migrations, Université catholique de Louvain (UCLouvain)