En renversant la perspective sur les organisations qui cherchent à autonomiser les équipes se dessine les contours de principes clés dans une adoption réussie de ce modèle.
Un récent livre revient sur la genèse des pratiques de contrôle nées de la Seconde Guerre mondiale et qui restent encore en vigueur aujourd’hui dans les organisations.
Et si la « corporate mindfulness » n’était qu’un outil au service de la performance économique ? Cette question fait écho aux premiers débats autour de la responsabilité sociale des entreprises.
Certaines collectivités territoriales françaises emboîtent le pas de leurs homologues anglo-saxonnes dans des pratiques qui visent à renforcer la collaboration, l’anticipation et la transparence.
Les dysfonctionnements pourraient être corrigés par une meilleure prise en compte des informations remontées par les patients et leurs familles, comme le suggère la recherche.
Plusieurs catégories de salariés font état de niveaux d’intensité du travail plus élevés. Une tendance qui contraint la gestion des ressources humaines à revoir certaines pratiques.
Un ouvrage récent tente de répondre à la question à partir de nombreux cas. Ils montrent qu’une simple transposition reste inadéquate, les bénévoles s’engageant notamment en quête de reconnaissance.
Selon la recherche, les dirigeants qui osent casser les codes vestimentaires en entreprise recueillent davantage l’approbation de leurs collaborateurs. Et en politique ?
La perte d’influence ou encore les bouleversements du rythme quotidien peuvent conduire le gérant à repousser certaines décisions et nuire ainsi au passage de témoin.
Une enquête suggère tant l’importance de cette notion pour appréhender des risques pour la santé des salariés que des pistes à l’attention des dirigeants pour les en prémunir.
La distance dégrade l’activité de collecte de données sur laquelle repose le conseil personnalisé, et donc la valeur ajoutée du service proposé par les établissements.
Il y a parfois un écart entre ce que les organisations affirment faire concerner l’expression religieuse au travail, et ce qu’elles font réellement. Analyse.
Les problèmes liés au manque de personnel ne pourront pas être surmontés en ne déployant qu’une politique de revalorisation salariale des agents hospitaliers.
Selon une enquête menée auprès de plus de 11 000 répondants, les supérieurs hiérarchiques sont désormais attendus à la fois sur leurs capacités techniques et leurs compétences relationnelles.
Une trop faible implication des équipes en charge de déployer les politiques de durabilité risque de faire naître un scepticisme quant aux intentions réelles de leurs employeurs.
La recherche en ressources humaines identifie quatre principes clés : garder sa faculté d’apprentissage, obtenir des feedbacks, gérer ses émotions et utiliser ses contacts.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)