Le Pôle Léonard de Vinci est composé de quatre établissements d’enseignement supérieur délivrant des diplômes reconnus qui couvrent des champs disciplinaires complémentaires, notamment dans le secteur du numérique : une école de commerce, l’EMLV (Ecole de Management Léonard de Vinci) ; une école d’ingénieurs, l’ESILV (Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci), une école du digital, l’IIM (Digital School) et un établissement de formation continue, De Vinci Executive Education. 1 Laboratoire de recherche commun : De Vinci Research Center (DVRC) et 1 Centre d’innovation : l’Institute for Future Technologies (IFT).
En 2022, il compte 10 000 étudiants et apprenants au sein de ses 3 écoles et de son activité de formation continue, 20 000 diplômés et 460 collaborateurs (dont + de 200 enseignants et enseignants-chercheurs). Créées en 1995, les écoles sont rassemblées au Pôle Léonard de Vinci à Paris-La Défense et depuis 2022, à Nantes.
Le campus s’organise autour de valeurs communes que sont l’hybridation, la professionnalisation, l’internationalisation, l’ouverture sociale et le sport. L’hybridation est le résultat de la transversalité qui existe entre les écoles : cours & projets en commun, développement progressif et intensif des soft skills, incubateur, FabLab, vie associative, activités sportives, double-diplômes…
Ingénieurs, managers, designers apprennent à vivre et à travailler ensemble au-delà des frontières de leur propre cursus.
Si la généralisation de la maquette numérique révolutionne les métiers de la construction, elle présente également de nombreux avantages pour le suivi énergétique des bâtiments.
Le 13 mars le Parlement britannique a donné le feu vert au Brexit. Yves Petit (U. Lorraine), Bastien Nivet (EM Léonard de Vinci) et Diana Cooper-Richet (UVSQ) décortiquent le dossier du divorce.
Si l’UE est menacée aujourd’hui, ce n’est pas seulement par sa difficulté à faire face aux pressions économiques et politiques objectives, mais bien parce qu’elle incarne un autre monde.
Assurer la sécurité des manifestants, protéger l'ordre public, encadrer le droit à manifester : au-delà le a responsabilité des policiers, l'État est de plus en plus montrer du doigt sur ces dossiers.
1957–2017 : les Traités de Rome ont soixante ans. Un anniversaire à double tranchant, amenant à saisir l’audace et les réussites initiales de ces Traités, autant que les occasions et ambitions perdues.
La technologie de stockage et de transmission d’informations, rendue célèbre avec le bitcoin, fait ses débuts dans le domaine de la production d’énergie.
La gestion de l’incertitude Brexit fournit un cas d’étude intéressant, l’organisation UE étant à la fois en partie responsable et victime de l’incertitude et du risque observés.
Le développement rapide des objets connectés pousse à repenser les modèles économiques de la ville. Micro-business, économie circulaire ou multiplication des services, la donne urbaine change vite.
Dans les réseaux électriques du futur, la gestion de l’offre et de la demande en électricité passera par de nouveaux outils « intelligents »… et de nouveaux consommateurs.
La digitalisation de son point de vente n’est plus une option mais bien un prérequis. Quelles sont les tendances du retail où le consommateur fait aujourd’hui sa loi !
Quelle pourrait être la vie d’un résident dans un établissement pour personnes âgées dépendantes dans une dizaine d’années ? Une fiction au plus près du réel prévisible.
Servuction, intangibilité, périssabilité… et planter du bâton : petite leçon de marketing des services illustrée par les péripéties du film « Les bronzés font du ski ».
La palette émotionnelle des humains, créatures de chair et de sang, n’est pas transposable chez les robots : une machine ne peut avoir mal ni ressentir du plaisir. Mais elle simule de mieux en mieux.
Ces deux organisations sont parfaitement complémentaires. Mises en commun, on pourrait assister à la création d’un écosystème de travail collaboratif potentiellement très performant.
La pire réponse de « ceux qui restent » serait de reprendre à leur compte la pensée du héros du Guépard de Lampedusa : « Il a bien fallu que tout change pour que tout puisse rester comme avant ».