La figure du lanceur d’alerte-discutée dans le cadre de la loi « Sapin 2 » pose le problème de la loyauté. Il est tiraillé entre ses propres valeurs, celles de l’entreprise et de la société civile.
La Banque mondiale devrait montrer l’exemple en matière de gestion transparente, inclusive, et responsable. Elle ne respecte pas pour elle-même les principes de bonne gouvernance qu’elle prône.
Deux études montrent que la pratique d’un sport (mais aussi d’un instrument de musique) garantissait, toutes choses égales par ailleurs, une rémunération plus élevée sur le marché du travail.
La gestion de l’incertitude Brexit fournit un cas d’étude intéressant, l’organisation UE étant à la fois en partie responsable et victime de l’incertitude et du risque observés.
Et si les salariés français faisaient la sieste dans leur entreprise ? L’idée fait son chemin comme une pratique bénéfique pour les salariés et pour la performance de l’entreprise.
Comment aller plus loin que le seul débat sur la rémunération des dirigeants vue par le prisme du « talent » ou de la performance ? Une réflexion de fond sur la direction d’entreprise est à mener.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)