Plaidoyer pour une vision non grandiloquente et honnête du management. Pour ne pas chercher à mettre « du sens » dans des jobs qui n’en ont pas vraiment.
Comment écrire un article de référence dans une revue de science de gestion… pour qu’il reste une référence ? Réponse autour d’un cas discutant la théorie de l’agence et la rationalité des acteurs.
Aujourd’hui la psychologie économique et l’approche cognitive paraissent avoir influencé de larges pans du management. Mais qu’en est-il, trente ans après les articles fondateurs sur ce domaine ?
La réglementation imposant la publication des rémunérations des dirigeants a notamment entraîné leur inflation car ces chiffres sont devenus une mesure de leur valeur.
Retour sur l’apport des recherches sur la prise en compte des états affectifs des individus dans l’analyse de leurs comportements de prise de décision et de consommation. Vingt ans de marketing.
Le prix FNEGE-EFMD a couronné cette année – entre autres – un essai sur « les données philosophiques du management ». Aujourd’hui, management et philosophie peuvent avoir des relations fécondes.
Crise de gouvernance d’EDF autour du projet coûteux d’EPR britannique, démission du directeur financier : l'Etat actionnaire va-t-il intervenir pour consolider les comptes d'EDF ? Un cas d'école.
Croissance et création d’emplois en France reposent largement sur le tissu des PME. Mais sur quels facteurs d’appuie la croissance des PME ? Le facteur humain vient en tête.
À l’heure où l’état d’urgence semble s’installer en France dans la durée, comment peut-on intégrer cet état de fait dans le management des hommes en entreprise ?
Selon une étude, les suppressions d’emplois semblent susciter moins d’indignation dans les médias depuis le tournant des années 2000. Quelques pistes d’explication.
Les psychopathes ne ressemblent pas tous à Hannibal Lecter, le tueur du « Silence des agneaux ». Certains utilisent les aspects dynamiques de leur personnalité psychopathique pour réussir dans la vie.
Dans les « entreprises libérées » on fait confiance, on incite au volontariat et on supprime les échelons intermédiaires. Cette liberté semble fonctionner… et faire des émules.
Précédé d’une réputation de cost-killer et de « délocalisateur », le métier d’acheteur évolue vers des pratiques plus collaboratives. En jeu : la capacité à réer de la valeur ajoutée « par le haut ».
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)