En imputant toute la responsabilité des émissions de CO₂ au consommateur, la méthodologie néglige celle des détenteurs du capital. Cette prise en compte pourrait révéler des inégalités plus marquées.
À long terme, l’intégration ou le maintien d’une entreprise dans l’index de durabilité du Dow Jones attire l’attention des analystes financiers et les investissements.
Les craintes particulières liées à la vie humaine génèrent des questionnements qui pourraient conduire à modifier en partie les comportements des consommateurs, des salariés et des investisseurs.
L’engagement des managers, la transversalité des projets, la porosité RH/RSE et la coconstruction des projets constituent les meilleures pratiques identifiées par la recherche.
La crise remet sur le devant de la scène l’importance de la responsabilité sociale des entreprises, reflet des attentes voire des exigences, et des motivations de leurs parties prenantes.
Face à la récession, la guerre des prix entre les enseignes de distribution fait rage. Or, une stratégie de communication orientée sur la sécurité et la confiance s’avère aussi indispensable.
Nizar Ghamgui, PSB Paris School of Business and Amel Souissi, Haute école spécialisée de Suisse occidentale (HES-SO)
Le développement d’une offre durable et responsable dans les régions désertiques reste à l’état d’intention dans un pays dépendant du tourisme balnéaire de masse.
Les craintes sur le pouvoir d’achat pourraient notamment démentir les intentions des Français qui souhaiteraient désormais privilégier les circuits courts, le bio ou les produits locaux.
De nombreuses entreprises réorientent aujourd’hui leur production et leur offre dans le contexte de confinement et de crise sanitaire. Les enjeux business sont-ils toujours la motivation première ?
Le cadre des objectifs de développement durable établi par l’ONU reste suffisamment vaste pour que les firmes sélectionnent d’abord ceux qui leur conviennent le mieux.
Les start-up positionnées sur l’innovation sociale peuvent rencontrer des difficultés de pérennisation de leurs modèles économiques. Quelques stratégies permettent pourtant de l’éviter.
Selon la théorie de l’identité sociale, les femmes seraient davantage alignées avec les valeurs de la responsabilité sociétale des entreprises que les hommes.
Contrairement aux compétences individuelles, les compétences collectives se développent peu dans les organisations. Ces dernières sont pourtant clés pour pacifier les relations entre organisations.
Thibault Lescuyer, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
L’Oréal a publié une étude en 2019 établissant que ses crèmes solaires seraient sans danger pour les coraux. La communauté scientifique n’est cependant pas unanime sur la question.
Ces deux axes de communication paraissent antagonistes. Pourtant, aux yeux de certains consommateurs, certaines grandes surfaces réussissent à résoudre le paradoxe.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Chercheur associé au Laboratoire d’économie dyonisien et à l’Institut de Recherche en Gestion, Université Paris-Est, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)